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Master 1 Archives St Domingue
14 mars 2009

Inventaire année 1782

Page 1 : Page de garde de la correspondance général de St Domingue année 1782. Page 3 : Saint Domingue, 1782. De Lillancourt Gouverneur général par intérim et Le Brasseur Commissaire Général Ordonnateur. Pages 5 à 18 : 1782, 11 janvier, au Cap, Le Brasseur et de Lillancourt à de Castries. Rapport du Conseil de Port au Prince. L’enregistrement de la commission du Sieur Farquereau n’a pas été refusé. Cependant, différentes raisons sont données pour justifier le refus de l’ordonnance des poisons au Conseil de Port au Prince : inutilité de cette ordonnance. Elle est nuisible et donc il faut de nombreuses précautions. Pages 19 à 21 : 11 janvier, au Cap, Le Brasseur et de Lillancourt à de Castries. Explication des travaux réalisés pour faire une fontaine afin d’alimenter les vaisseaux du roi. La fontaine est reliée à la mer. Pages 23 à 31 : 11 janvier, au Cap, le Brasseur et de Lillancourt à de Castries. Réalisation de travaux d’un chemin reliant le débarquement au fort pour le transport de l’artillerie. Dépense réclamée au roi. De Gassonville a donné une aide précieuse. Ce dernier a découvert le chemin. Il a dirigé les canonniers. Volonté d’ouverture d’un chemin de voiture qui faciliterait les cultivateurs mais ces derniers verraient cela d’un mauvais œil. Ce chemin faciliterait les correspondances entre la rade et le Cap. Volonté de construire un fort plus respectable afin d’éviter la prise de bâtiments français par des frégates ou corsaires ennemis. Rapport de De Gassonville en pièce jointe sur l’exécution des travaux. Eloge pour Belly capitaine de milice. Demande de lettre de satisfaction pour ce dernier afin de montrer l'exemple aux autres habitants du même quartier. Pages 33 et 34 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Gassonville a découvert un chemin facilitant le passage de l’artillerie. Explication détaillée des travaux effectués. Généraux et intendants ont donné une gratification de 100 portugaises aux canonniers. Belly a aidé De Gassonville en envoyant une partie des esclaves de son atelier. Page 37 : Page de garde : Saint Domingue 1782. De Bellecombe Gouverneur Général et De Bongars Intendant. Pages 39 à 41 : 21 février, au Cap, Bellecombe et Bongars. Extrait des registres du Conseil Supérieur du Cap imprimé par l’Imprimerie Royale du Cap. Ordonnance stipulant qu’il y a assez de subsistance dans les magasins du roi et ceux des particuliers pour attendre l’approvisionnement. Amendes prévues de 3 000 livres pour les capitaines en cas de surplus d’approvisionnement. Chaque navire fera l’objet d’une visite avant départ. Ordonnance imprimée et affichée tant que possible. Pages 43 à 48 : 26 avril, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Plainte concernant le manque de vivres, d’argent, de poudre et l’arrivée de 10 000 Espagnols à loger et nourrir. Présence de vin dans la colonie et au Cap. L’intendant donne ordre d’acheter de la farine qui diminue fortement entre la confection du biscuit et l’approvisionnement des Espagnols. L’arrivée du convoi d’approvisionnement est retardée et la quantité de farine n’est pas celle espérée. Réclamation d’un convoi d’approvisionnement. Disette d’argent. Argent non reçu des Espagnols. Demande d’argent pour le service courant. Emprunt à un négociant par lettres de change ou récépissés (80 000 piastres). La flotte manque de poudre et il est impossible de lui en fournir. Pages 49 à 53 : 19 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. La situation a empiré. Vivres pour 4 mois au Port au Prince. Au début, on donnait des vivres aux Espagnols mais ceux-ci avaient de la farine et la gardaient pour eux. Grosse demande de l’escadre en comestible. L’Intendant a du donné des lettres de change aux fournisseurs et aux hôpitaux. La Ville de Paris a été prise. Attente d’argent pour donner à l’escadre. Page 55 : 19 mai, au Cap, Bongars. Etat de consommation journalière en pain et viande salée pour toute la population du port : troupes françaises et espagnoles, vaisseaux, frégates, bâtiments de guerre, hôpitaux et militaires. Pages 59 à 63 : 19 mai, Bellecombe et Bongars à de Castries. Plainte concernant le manque de vivres avec des chiffres détaillés. Pages 65 et 66 : 19 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Les problèmes à Saint Domingue ne leur permettent pas de s’occuper comme il le faut de leur travail. Il faut connaître les abus et y remédier. La guerre a amené des abus qui ont même lieu là où la guerre n’a pas frappé. La paix est nécessaire pour une bonne administration. Pages 69 et 70 : 19 mai, Bellecombe et Bongars. Problème d’administration. Départ d’un convoi fin mai début juin mais ils craignent une attaque anglaise. Bellecombe annonce que le convoi partira le 15 juin pour la France. Page 73 : 19 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries, sur le convoi et la peur des Anglais. Départ prévu du convoi pour le 15 juin. Pages 77 à 79 : Duplicata des pages 49 à 53. Pages 81 et 82 : 27 mai, sans lieu, sans expéditeur, à Bellecombe et Bongars. Duplicata d’une lettre du Secrétaire d’Etat de la Marine à Bellecombe et Bongars en garde de ne pas dégarnir des objets sur demandes des Etats-Unis pour conserver la sûreté de la colonie. Page 83 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Mémoire du Sieur Girard. Demande de naturalisation d’un étranger (Suisse) pour cause de succession. Page 85 : 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Lettre d’appui à la demande de Girard pour une naturalisation. On y vante ses mérites : 18 ans dans la colonie, religion apostolique et romaine, lieutenant de milices. Pages 87 à 89 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Lettre du notaire du roi le 6 avril 1781. Acte notarié sur la naturalisation du Sieur Girard. Présence d’un sceau. Pages 91 et 92 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Extrait d’acte de baptême du fils de Girard. Date du 7 mai 1782. Acte notarié émanant de l’Hôtel du Petit Goave. Présence d’un sceau. Pages 93 et 94 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Acte notarié de Suisse vantant les mérites de Girard. Présence d’un sceau Pages 95 et 96 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Acte du Conseil de Ste Croix en Suisse. Acte officiel. Présence d’un sceau. Pages 97 et 98 : 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Rapport d’enregistrement des mesures du Roi dans la dépêche du 30 novembre 1781 concernant les successions vacantes, les chemins publics et particuliers (édit), les missions (ordonnances) et les biens des fabriques des églises (ordonnances). Pages 99 à 107 : 30 mai, sans lieu, Bellecombe et Bongars à de Castries. Duplicata de la lettre des pages 97 et 98. Présence d’une lettre de Bouillé du 28 février 1782. Des dispositions sont contraires au bien ou service du roi, concernant l’artilleries et les fortifications ; la réunion des magasins d’artillerie et de fortification à ceux de la marine ; le droit de l’intendant de disposer des poudres et le mélange des effets de l’artillerie et de ceux de la marine. Page 107 : 9 avril, sans lieu, D’Arbaud, sans destinataire. D’Arbaud a suspendu les mesures du roi concernant les dispositions et règlements sur le service économique de l’artillerie. Pages 109 à 111 : 15 juin, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Détérioration de l’état de la colonie. Apparition de maladies qui touchent les troupes. 4 000 malades. Ravitaillement par les neutres. Maladies provoquées par la viande. Négociation pour le paiement des neutres. Plus de ravitaillement venant de France. Approvisionnement grâce aux produits venus des îles de Ste Croix et de St Thomas. Page 113 : 7 juillet, Versailles, à Bellecombe et Bongars. Ordonnance concernant le service des nègres au Môle. Il faut lutter contre les abus. Page 115 : 7 juillet, Versailles, à Bellecombe et Bongars. Le canal qui amène l’eau n’est pas assez performant et donc son coût est jugé démesuré. Pages 117 et 118 : 19 juillet, au Cap. Extrait des registres du Conseil Supérieur du Cap. Pages 119 à 123 : Duplicata du 25 juillet 1782 de Bellecombe et Bongars à Don Bernardo de Galvez. Un propriétaire français est retenu à bord de son vaisseau par une garde espagnole. Ce navire avait été vendu par les Espagnols à un Français. L’homme se dit Espagnol ou Français selon ses besoins. L’affaire est portée au haut commandement espagnol. L’homme se nomme Lagarde en français et Jean Lagardia en espagnol. Pages 125 à 132 : 28 juillet, sans lieu, Don Bernardo de Galvez à Bellecombe et Bongars. Il considère la lettre comme une plainte. Le prétendant français serait un prisonnier espagnol. Pour lui, le bâtiment est espagnol. Mise en doute de la pièce de vente. Le propriétaire nouveau est un imposteur venant de Caracas. Pas de pièce prouvant la propriété française. L’extrait baptistaire ne prouve rien pour de Galvez hormis la religion de la personne. Il est mécontent de l’accusation faite contre sa nation. De Galvez instruit les autorités espagnoles. Les monarques doivent estimer qui a été le plus blessé. Pages 133 à 137 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, aux généraux et intendants des îles françaises de l’Amérique sous le vent. Lagarde est natif de Pau. Il a l’autorisation d’être remboursé en prenant possession de la goélette Sainte Ritte. Un sergent et une garde espagnole à bord l’en empêchent. Lagarde porte requête ayant toutes les pièces prouvant qu’il pouvait partir en convoi. Les généraux donnent ordonnance de rendre le bâtiment à Lagarde étant donné que c’est la France qui a autorité en ce lieu. Lagarde est prisonnier et réclame l’aide du roi de France. Pièces justificatives jointes. Pages 139 et 140 : 12 juillet, à bord de la Sainte Ritte, Lagarde au major Cuesta. Demande de liberté de Lagarde détenu à bord de Sainte Ritte. Lagarde veut être sur terre afin de se défendre. Il propose une caution pour le bâtiment. Annotation de Cuesta le 13 juillet 1782 car pas besoin de caution comme le bâtiment est bien gardé. Traduction de la lettre de Lagarde par des interprètes. Page 143 : 13 juillet, sans lieu, Juan Lagardia à Cuesta. Lettre originale en espagnol non traduite. Pages 145 et 146 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le Sieur Mouseray a pris la place de juge laissé vacante après la mort du Sieur Lemoine. Mais ce dernier refuse le poste à cause de sa mauvaise santé. Pages 147 et 148 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Un juge demande la confirmation de sa nomination par un brevet du roi. Pages 149 et 150 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le Sieur Andrieu de Saint André qui a obtenu la place de capitaine de port à Saint Louis demande d’être conforté dans sa place par un brevet du roi. Les intendants conseillent de ne lui accorder aucun appointement. Pages 151 et 152 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le Sieur Sauteyron veut revenir en France car étant avocat, il est trop peu occupé à Saint Domingue. Page 153 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Augmentation de traitement du député de Saint Domingue. Page 155 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Bonne réception des lettres patentes concernant la noblesse du 23 octobre. Les intendants veilleront à leurs exécutions. Page 157 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Bonne reception d’une dépêche visant à rayer un discours du Procureur Général sur les registres du Conseil Supérieur. Pages 159 et 160 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Demande de naturalisation du Sieur Lelièvre. Dans la colonie depuis 30 ans, marié, deux enfants, cultivateur, avec une bonne réputation, de religion catholique. Pages 161 et 162 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le Sieur Desgaraine fils est mort peu de temps après sa nomination. Bellecombe et Bongars renvoient les lettres de dispenses d’âge alors non nécessaires et les redemanderont au besoin. Pages 163 et 164 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Relatif à une dépêche du 17 mai 1782. Remboursement émanant du roi concernant le nègre Achille tué par accident (2500 piastres). Pages 165 et 166 : 1782, 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Récapitulatif des pièces de l’affaire Lagarde. Pages 167 et 168 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le produit de la geôle est versé au curé pour les pauvres de la ville (au Cap). Volonté de l’appliquer aux pauvres malades des hôpitaux. Pages 169 à 171 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Affaire du 13 août 1779 sur l’assassinat d’une négresse par Baudouin condamné à être pendu. Baudouin en prison depuis 3 ans. Demande de grâce. Pages 173 à 178 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Les Sieurs Gaissardes et Joubert ont le droit de donner la crosse aux nègres marron qui ont commis des excès. Ils sont tout de même condamnés à payer 2 000 livres pour la valeur du nègre tué. Pages 179 à 194 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Réponse à la demande sur les divers objets relatifs à l’administration de Reynaud et Le Brasseur. Rapport de Rabié ingénieur en chef pour les deux chemins (coût de 50 000 livres). Impossibilité de continuer le chemin projeté par De Vaudreuil (pas de devis réalisé). Coût final de 100 224 livres car la vente d’un terrain a été faite mais il n’appartenait pas au roi. Il faudrait que le roi achète les terrains de la Fossette. Ouvrage nécessaire que la fontaine du fort Dauphin. Il faut continuer la fontaine : ordre donné au Sieur Artaud. Affaire de transport de sel à la Havane. Travaux de la place Clugny donné au Sieur Artaud pour 67 000 livres alors que deux autres entrepreneurs demandaient 42 000 livres. Pas d’échange du bateau Le Cerf. Ce dernier a été vendu à Sieur Lavaud. Achat d’un bateau avec l’argent qui s’est perdu. Somme de 20 831 livres et non 55 000 livres versés au Sieur Lavaud. Excès de complaisance à l’égard des officiers. Pages 195 à 201 : 26 juillet, sans lieu, Rabié, sans destinataire. Mémoire sur la construction du front de fortification au sud du Cap, sur les chemins exécutés à la sortie de la ville, sur les positions des batteries construites pour l’hôpital, sur la nécessité que le roi achète le terrain de la Fossette. Pages 203 à 206 : 1780, 1er octobre, du commissaire et contrôleur de la marine à St Domingue, sans destinataire. Extrait des minutes déposées et enregistrées au contrôle de la Marine à Saint Domingue. Copie du procès verbal de visite et de condamnation du Cerf commandé par Varage. Mauvais état des navires. Le Brasseur, Duplessis Vrascaud, Albert de Saint Hipolite, major de l’escadre, contrôleur de la marine et le capitaine du port condamnent les bâtiments de n’être plus aptes au service du roi. L’intendant a le droit de vendre ces bâtiments aux enchères. Copie de l’ordre de Monteil, chef d’escadre à Varage. Ce dernier doit laisser le Cerf à disposition de Le Brasseur afin que celui-ci charge les personnes concernées de le désarmer. Cela est convenu avec les chefs de la colonie. Varage doit vider le navire et en tirer le meilleur parti afin de dédommager le roi. Promotion pour Varage qui devient sous-officier à bord du Palmier du Cap le 30 septembre 1780. Signé Monteil. Copie du procès verbal de vente du Cerf. 10 octobre 1780. Vente à 10 heures du matin du Cerf au plus offrant. Le paiement doit se faire en argent comptant et dans les 24 heures. Pages 207 à 219 : 1780, 16 août, sans expéditeur à le Brasseur. Extrait des minutes déposées au contrôle de la Marine à Saint Domingue. A Le Brasseur intendant à Saint Domingue. Affaire à régler des remboursements entre un négociant du Cap et le prédécesseur de Le Brasseur. Pages 221 à 225 : ILLISIBLE Pages 229 à 231 : 1er février, à bord de la Néréide en rade à la Martinique, Bellecombe à de Castries. Le Marquis de Brass. Récit de la traversée entre Bordeaux et la Martinique (50 jours). Ils étaient seuls depuis le 10ème jour. De Bouillé et de Grasse à l’attaque de Saint Christophe. De Brass doit les rejoindre pour leur faire part des dépêches du roi. De Grasse et Bouillé vont avoir des dépêches par des convois espagnols venu de Cadix. Bellecombe doit rejoindre Saint Christophe dans deux jours. Pages 233 et 234 : 4 février, au Camp de De Bouillé à Saint Christophe, Bellecombe à de Castries. Bellecombe a vu Bouillé et de Grasse. Ces derniers rendront leurs décisions au Secrétaire d’Etat à la Marine concernant le retard du convoi et de leur position actuelle. Visite des travaux de Bouillé puis retour à bord de la frégate avec De Grasse pour Saint Domingue. Rencontre de deux frégates anglaises sans accident ni blessés. Pages 235 et 236 : 14 février, au Cap, Bellecombe à de Castries. Arrivée d’un convoi espagnol de 4 000 hommes. Bellecombe et Bongars espèrent subvenir à leurs besoins. Préparation d’une expédition pour la Havane pour faire part à Don Solano et Don Galvez de l’arrivée du convoi et des dépêches de De Grasse et de Bouillé donc Bellecombe ne sait rien. Ordre et tranquilité à Saint Domingue. 5 000 hommes à Saint Domingue. 121 823 livres. Il faut affréter une frégate pour la Havane pour aller chercher des fonds. Liste des vivres présents. La Marquise de Gauart est le seul bâtiment qui soit arrivé. La Néréide et la Railleuse protègent le commerce sur la côte. Cette lettre arrivera par convoi américain. Pages 239 à 242 : 29 février, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Arrivée De Galvez le 27 février sur le vaisseau de guerre le Saint Jean. Envoi d’une escadre espagnole pour sauver la frégate La Courageuse qui possède à son bord 600 000 piastres. Refuge dans un port espagnol. Prise de Saint Christophe par les Français. Pages 243 à 246 : 24 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Inventaire de l’arsenal à l’arrivée de Bellecombe. Excellent atelier de canons de fer de Dupuis donc commande de 10 pièces : 3 destinés au vaisseau le Duc de Chartres qui doit porter les prisonniers de guerre de Saint Christophe. Préparation de l’équipement pour faire camper un corps de 6 000 hommes par de Bongars qui a déjà tout préparé. Tous les boulangers du Cap s’attèlent à la préparation de biscuits pour ne pas retarder le départ de l’escadre. Pages 247 à 249 : 24 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Les 4 vaisseaux envoyés par de Grasse et Bouillé ayant pour but l’acheminement des prisonniers de Saint Christophe pour l’Angleterre se sont ravitaillés au Cap. Bellecombe qualifie de chaotique l’administration intérieure. Confusion dans les magasins. Même constatation de Bongars. Peu d’installations militaires. Fort Dauphin est un ouvrage ridicule. Presque toutes les batteries ont besoin de réparation. Les travaux des chemins sont mal exécutés. Besoin de gestion de l’effectif des milices. Abus des avocats et procureurs. Pages 251 à 258 : 26 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. La frégate La Courageuse est rentrée le 8 mars. 1 000 piastres donnés par les Espagnols sur les 400 000. De Galvez et Savedra auront besoin d’une frégate française. Préparation à l’accueil de troupes de passage. Bellecombe et De Galvez font tout pour apaiser Français et Espagnols afin d’éviter les conflits. Excellente entente entre Bellecombe et De Galvez et De Savedra. Page 259 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire.Etat des comestibles entrés au Cap sur des bâtiments neutres pendant les mois de mai, juin et juillet 1782. Pages 261 à 262 : 26 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. Bellecombe envoie la frégate La Railleuse pour escorter les 4 vaisseaux parlementaires qui transportent les prisonniers anglais. Aucune marchandise ne doit être embarqué. Page 263 : 23 mars, sans lieu, Bellecombe au capitaine de port. Il avertit le capitaine de l’interdiction de charger des marchandises sur les 4 vaisseaux parlementaires sous peine de sanctions. Page 267 : Sans date, sans lieu, Bellecombe, sans destinataire. La frégate La Courageuse doit faire des réparations sur son gouvernail. Dès qu’elle sera réparé, elle sera envoyé sur la côte afin d’éloigner les corsaires. Pages 269 à 272 : 30 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. De Lillancourt prévient d’une querelle entre troupes françaises et espagnoles : un civil agressé par des Espagnols demande l’aide de troupes françaises. Un soldat français reçoit un coup de baïonnette. Quelques soldats français et espagnols blessés. De Galvez et Bellecombe décident de former une garde mixte de 50 hommes. Pages 273 à 279 : 7 avril, au Cap, Bellecombe à de Castries. Trois des 4 navires parlementaires sont rentrés au Cap. Les bâtiments américains partiront le 8 escortés par La Railleuse. Retour de la frégate La Néréide avec deux prises. De Brass n’est pas d’accord sur la moitié de la prise réclamée par De Linières capitaine de La Railleuse. Bellecombe défend De Brass. L’intendant espagnol de la Havane n’enverra pas d’argent. La Vestale, expédiée de la Martinique, est arrivée ce jour sans lettre du Comte de Grasse ni de Bouillé. Bellecombe ignore ce qu’il se passe aux îles du vent. Post scriptum du 8 : De Solano vient d’entrer avec son escadre. Actuellement 11 vaisseaux espagnols de guerre au Cap. Pages 281 et 282 : 18 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Etat des effectifs joint à la lettre. Demande de dédommagement suite au passage des troupes étrangères. Impossible de loger toutes les troupes. Pages 283 à 291 : 1782, sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des troupes françaises et espagnoles qui se trouvent à Saint Domingue. Page 293 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire.Etat des troupes espagnoles dans l’île de Saint Domingue (classées par canton). Page 295 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat et situation et répartitions des troupes françaises à Saint Domingue. Pages 297 à 300 : 29 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Echange de prisonniers avec l’Amiral Hood. Bellecombe réclame les canonniers et les grenadiers d’Armagnac pris sur La Ville de Paris en échange de soldats pris à Saint Eustache et à Saint Christophe. Il va à l’encontre du roi mais pour le bien de la défense de la colonie. Bellecombe fera porter les prisonniers anglais à la Jamaïque. Bellecombe a pris l’avis De Bouillé. Pages 301 à 304 : 29 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Un homme est emprisonné pour avoir insulté un Espagnol dans un café. De Galvez le dénonce comme déserteur et espion anglais. Il ne se reconnaît que comme déserteur. Le prisonnier est ramené en France sur la flûte du roi Le Saumon. Il se nomme Morel et se prétend fils de conseiller du roi. Bellecombe préfère l’envoyer en France que de le livrer aux Espagnols. Post-scriptum : le navire prévu va finalement à Londres porter des prisonniers. Pages 305 à 309 : 30 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Envoi de Moreau à la Jamaïque avec des instructions particulières pour traiter avec les noirs des montagnes bleues. Promesse de bon traitement si ils rallient le camp français. Prise de note sur les terres, les travaux de défense effectués. Moreau a fait du bon travail. Bellecombe veut le renvoyer en Jamaïque. Visite des travaux exécutée par le gouverneur Campbell. La Jamaïque devient difficile à attaquer. Pages 311 à 314 : 29 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Préparation de l’expédition convenue par De Vaudreuil et De Bouillé donc l’exécution est confiée à de Lapérouse. Bellecombe fait embarqué sur le Sceptre et les frégates L’Astrée et l’Engageante 290 hommes commandés par De Rostaing. Monneron, ingénieur chargé des travaux militaires et Mansuy ingénieur géographe sont à bord du convoi. Bellecombe pense que le vaisseau et les 2 frégates auraient été plus utiles à protéger les côtes. Volonté de protection contre les Anglais. Pages 315 à 317 : 30 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Rajout de 300 hommes environ du régiment d’Auxerrois sur l’expédition de De Vaudreuil et De Bouillé. De Damard, colonel d’Auxerroise, embarque aussi. De Vaudreuil voudrait envoyer que les vaisseaux l’Experiment et Le Sagittaire. Toutes les troupes des îles du vent restent à bord des vaisseaux. Pages 319 à 321 : 30 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Départ du convoi pour la France prévu pour le 15 juin finalement départ le 31 mai. 113 bâtiments prêts au départ. Le second départ aura lieu dès que les Anglais ne seront plus une menace. Pages 323 à 325 : 30 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Arrivée de farine suffisante à la consommation par les Américains. Le Saint Augustin (vaisseau de guerre espagnol) et la frégate l’Iris ramènent de l’argent de la Havane. Bellecombe et Bongars sont malades. Arrivée des convois grâce à la mauvaise position de l’Amiral Hood. Pages 327 à 338 : 17 juin, au Cap, Bellecombe à de Castries. Mouvements des hôpitaux. Page 339 : Document annexe des pages 327 à 328, le 17 juin, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Mouvement des hôpitaux du 19 juin 1782 Page 341 : Document annexe des pages 327 à 328, le 17 juin, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Etat des bâtiments du convoi de Port au Prince arrivé au Môme St Nicolas le 5 juin et qui doit partir incessamment dans l’escorte de 4 vaisseaux. Page 346 : Document annexe des pages 327 à 328, le 17 juin, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Etat des troupes. Page 347 : Document annexe des pages 327 à 328, le 17 juin, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Etat et situation des troupes à l’époque du 16 juin 1782 Pages 349 à 351 : 18 juin, au Cap, Bellecombe à de Castries. Bellecombe a pu se procurer l’état des effets d’artillerie le 17 juin. Beaucoup d’effets sont en mauvais état. Les réparations ne sont pas encore effectuées car les forges et charpentiers du roi sont employés pour l’armée navale. Page 353 : Page de garde : Saint Domingue. Artillerie. 1782 Pages 355à 359 : 17 juin, au Cap, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des canons et effets d’artillerie remise dans le Parc et le magasin d’artillerie par les vaisseaux du Roi et des bâtiments de transport, en Avril, mai et juin 1782. Etat des effets et munitions embarqués sur le vaisseau Le Sceptre et les frégates l’Astrée et l’Engageante. Etat des canons et effets d’artillerie, remis dans le parc d’artillerie par le bâtiment de transport le Duc de Chartres, en mars 1782 Page 361 : 4 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. De Vaudreuil annonce que les signaux de l’armée De Grasse sont entre les mains anglaises. Cette lettre partira sur 4 expéditions différentes. Pages 363 à 367 : 11 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Rappel sur le manque de vivres. Aide de grand secours des neutres. Le pain a coûté jusque 30 sols la livre. 19 000 barils reçus depuis 2 mois. La farine américaine est moins chère que celle d’Europe. 10 000 quarts de farine arrivée à New York. Les Espagnols ont refusé le combat et les troupes françaises sont décimées par la maladie. La présence espagnole provoque des troubles sauf pour l’argent qu’ils ramènent. Les Espagnols consomment beaucoup de vivres. Difficulté d’approvisionner l’escadre. Les salaisons sont à 170 livres le baril. L’île de Saint Thomas a approvisionné Saint Domingue. Page 369 : Document annexe des pages 363 à 367, le 11 juillet, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Etat des comestibles entré au Cap par les vaisseaux neutres en mai et juin 1782. Pages 371 à 375 : 11 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Pas de nouvelles des 2 hommes envoyés à la Jamaïque depuis le 12 juin et le départ de La Défiance, Bricq du roi. 38 vaisseaux dans le port de Kingstown. Débarquement du convoi (1er juin) par le canal de Bahama en passant par l’ouest de Cuba. L’Amiral Rodney avait prévenu qu’un second convoi partirait. Le navire parlementaire a rapporté 4 enseignes de vaisseaux, 5 lieutenants de frégate, 11 gardes de la marine et 8 officiers de troupe. Fausse nouvelle comme quoi Saint Christophe était attaqué et que Barrigton était arrivé aux îles du vent. Impossible pour le moment qu’une escadre opère aux Antilles. Pages 377 à 379 : 11 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Lettre reçue le 7 juillet d’une lettre du 9 juin De Rochambeau à Williambourg. Ce dernier est inquiet suite à la défaite du combat du 12 avril. Il veut envoyer des farines mais peu de moyen pour faire escorter les convois. Le brigadier Ohara est parti de Charlestown avec 1 000 hommes pour renforcer la garnison de la Jamaïque. Evacuation de Charlestown et Savannah afin de renforcer New York. Réception d’une lettre De la Ville Brune qui ne peut approvisionner St Domingue : il manque d’hommes pour armer l’expédition. Pages 381 à 383 : 19 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Un vaisseau Ostendois partant pour Bordeaux va acheminer le courrier. Rochambeau envoie 3 à 4 000 barils pour la colonie. Réparation pressante des bâtiments du roi afin de permettre le départ de convoi avec escorte. Présence de 3 bâtiments de guerres ennemis au large. Rentrée de 12 bâtiments de Provence du convoi de l’Alceste. Le Comte d’Antichamps est revenu des îles du vent dans un mauvais état. Il repart en France à la fin du mois sur la frégate Le Maréchal de Mouchy. Regret de Bellecombe de ce départ. Pages 385 à 387 : 31 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. La lettre du 19 juillet qui devait partir pour Bordeaux sous pavillon Ostendois est confié à Lambert, lieutenant de frégate, passager sur ce bâtiment. Des armateurs défendent le capitaine de prendre des lettres. La lettre n’a pas été donnée. Mécontentement auprès du Capitaine Doucet de Rouen et de Lambert. Départ des lettres sur la frégate marchande Le Maréchal de Mouchy avec Le Comte d’Antichamps. Pages 389 à 393 : 31 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Envois de bâtiments de guerre pour protéger l’atterrage du convoi annoncé par De Rochambeau. De Galvez doit faire sortir un vaisseau de guerre espagnol pour se joindre aux frégates. Il rajoute une corvette et Bellecombe un vaisseau : Le Scipion. Arrivé à Porto Plata, ce vaisseau doit revenir au Cap. La Courageuse, dès réparation, partira avec le Brick St Louis chercher les navires marchands Au Port au Prince pour le prochain convoi. La Courageuse partira ensuite au bas de la côte avec les flûtes du roi : Le Pluvier, l’Elisa et la Royale Amitié. Le Pluvier restera au Cap tandis que les 2 autres iront au Port au Prince. 15 jours de croisières prévus sur le Cap Savannah. Lettre du 30 juin du Cap Henry De Lomaria : il décape les flûtes du roi le Cockrain, la Jeune Pauline avec 2 000 quarts de farine et autant de biscuit. Ce convoi arrivera au Cap Savannah en même temps que les autres flûtes. Bâtiment américain ramène 3 000 quarts de farine. Pages 397 à 400 : 31 juillet, au cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Le vaisseau Le Palmier est réparé et De Martelly est disposé à la ramener en France. Départ prévu le 20 août. Convoi d’une trentaine de vaisseaux. La Railleuse repart aussi en France pour réparation. Le Scipion et la Courageuse restent au Cap. La Courageuse sera envoyée ultérieurement pour réparation. Il faudrait 8 frégates à demeure dans la colonie : 3 dans la partie du Môle et du Port au Prince, 2 au sud et 3 au Cap. Espérance que le mauvais temps a chassé les croiseurs dans le Sud. Pages 401 à 403 : 31 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Aucune nouvelle du vaisseau parlementaire ni des 2 hommes envoyés à la Jamaïque. Ignorance de ce qu’il se passe dans cette île anglaise sauf l’arrivée de 12 vaisseaux de guerre sans savoir de quel ministère ils sont. Pages 405 et 406 : 31 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Une frégate, La Bayonnaise, parti du Port de Bayonne seule, repart en France seule. Elle se réunit quand même à la frégate marchande de Bordeaux Le Maréchal de Mouchy. Pages 407 à 412 : 1er août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Reception de 8 lettres du ministre. Les 4 premières étant des duplicata. Une du 7 juin est un triplicata à laquelle Bellecombe va répondre. Les évènements du 12 avril dispensent de répondre aux autres lettres. Demande de duplicata d’une lettre du 20 février s’il y a besoin. De Galvez et De Solano ont été informé de la réduction du fort St Philippe. Les Anglais ont évacué Savannah et Charlestown pour renforcer New York. Bellecombe va veilleur au succès de l’exécution des ordres ramenés par le Comte de Rochambeau. Bellecombe souhaite ramener l’ordre. Déchiffrage d’un Post-Scriptum de Rochambeau sur les intentions anglaises. Pages 415 à 418 : 1er août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Réception d’une lettre de la Martinique par la corvette L’Aigle qui stipule que les vaisseaux Le Sagittaire, l’Experiment et le Dauphin Royal sont arrivés après 42 jours de traversée. M de Dillon est convaincu que les Anglais vont attaquer la Martinique. Pages 419 et 420 : 2 août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Les flûtes Le Cockrain, La Jeune Pauline et l’Echarpe chargés de 2 000 barils de farine viennent de rentrer au Port. Même quantité de biscuit. Bœuf salé. Elles n’ont pas croisé le convoi devant aider leur atterrage. Pages 421 et 422 : 3 août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Le Scipion vient de rentrer en rade. La frégate La Courageuse est partie pour le bas de la côte avec le Brick le St Louis pour convoyer 15 navires marchands allant chercher du fret. Pages 423 à 430 : 3 août ; au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Réponse à la lettre du 3 mai du ministre. Farine en quantité abondante. Pas assez de bêtes. Cupidité du Président de St Domingo. Les bouchers font de la contrebande. Augmentation de la viande de 3 sols par livre. De Galvez doit rappeler au Président de St Domingo les ordres de la cour d’Espagne. Etat sommaire des effectifs. Envoie de la dépêche du secrétaire d’Etat à la Marine par L’Aigle au Marquis de Vaudreuil. Pages 431 et 432 : 3 août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Arrivée du vaisseau marchand Le Castor. Seynier, commandant du vaisseau Le Fendant donne des lettres pour De Castries. Pas de nouvelles de de Souillac. Pages 433 à 436 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Commande faite par De Galvez de trains d’artillerie. Pas de connaissance de Bellecombe de ce qui a été embarqué en France en artillerie, armes et munitions de guerre. Pages 437 et 438 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Copie de la lettre de Joseph de Galvez. Commande de trains d’artillerie. Pages 441 et 442 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Copie de la réponse de Bellecombe à De Galvez le 25 septembre 1782. Accord pour la commande faite mais Bellecombe n’a pas reçu d’ordre sur les quantités. La majeure partie de l’artillerie attendue de France est tombée dans les mains ennemies. Bellecombe va en rendre compte au ministre. Pages 443 à 445 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Copie d’une lettre du Marquis de Ségur au Comte de Vergennes, de Versailles le 5 septembre 1781. Note sur les effets d’artillerie que la cour de Madrid réclame à la cour de France. Etat de l’artillerie joint ainsi que les prix. Pages 449 à 454 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Inventaire des effets d’artillerie demandé par les Espagnols pour une expédition et qui doivent être importés par une escadre française. Page 455 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Copie de la lettre De Galvez à Bellecombe le 17 septembre 1782. Pages 459 à 462 : 28 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. La frégate La Sybile est bien arrivée le 27 août. Le bâtiment le Sandwich s’est échu le 16 septembre en fuyant les Anglais et Bellecombe envoie une goélette du roi pour tenter de réparer. La cargaison seule est sauvée. Arrivée du Comte de Beniowsky brigadier au service de France. Il attend au Cap la suite des ordres. Pages 463 à 481 : 28 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. La rade est sans défense donc risque pour le convoi comprenant La Courageuse et le St Louis. Bellecombe part à St Marc pour se rendre compte lui-même de cette situation rapportée. Une fois sur place, il constate que le convoi est très mal en point. Il écrit sur le champ à De Martelly afin de venir en aide pour éloigner les croiseurs. Bellecombe qualifie Port au Prince de sans défense. La Goélette du roi La Pouponne est en relâche au Port au Prince. De Neuville en est le commandant. Bellecombe lui demande d’apporter deux mortiers à St Marc. Demande de construction d’une quatrième batterie à St Marc dans le sud hors de la ville. Bellecombe se rend au Môle en passant par de nombreux points stratégiques. Bellecombe rapporte que les eaux de Boynes seraient miraculeuses. Volonté de mettre uniquement 1 500 hommes pour la défense de Môle au lieu des 4 500 annoncés. Bellecombe vante les mérites De Fontanges, major général qui commande parfaitement ses troupes. Pages 483 à 485 : 29 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Etat des bâtiments qui composent le convoi escorté par Le Palmier, La Railleuse, La Courageuse et La Galatée. Pages 487 à 493 : 31 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Réception du Lougre l’Argus le 27 octobre deux lettres du Secrétaire d’Etat à la Marine. Bellecombe envoie sa réponse à l’aide de la frégate marchande La Duchesse de Polignac. De Rochambeau et de Vaudreuil auraient trouvés des ressources à la Nouvelle Angleterre. Bellecombe hésite à envoyer un convoi sachant que les Anglais ont des vaisseaux de 50 canons. Les Anglais profitent de leur supériorité sur mer du moment. Porto Rico risque l’attaque anglaise. De Galvez a besoin de Bellecombe pour aller en mer. Pages 495 à 497 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Liste des bâtiments qui partent sous l’escorte du vaisseau du roi Le Palmier commandé par De Martelly, et des frégates La Railleuse, La Courageuse et la Galattrée. Pages 501 à 506 : 1er novembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Réponse à la lettre du Secrétaire d’Etat à la Marine qui stipulait le départ d’un convoi pour St Domingue ainsi que les mesures prises suite au 12 avril. Les habitants de St Domingue ont un esprit très patriotique. Bellecombe fait réparer tout ce qui est possible. Réception de vivres par les neutres mais rien par les convois français qui doivent apporter munitions et ustensiles de guerre. Bellecombe ne sait rien des finances : c’est l’affaire de l’intendant. La santé de Bellecombe s’est altérée depuis son arrivée à St Domingue. Il aurait besoin de repos depuis le voyage d’août mais il ne peut pas en prendre. Page 507 : 4 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Réception de la 4ème expédition de la dépêche du ministre du 31 janvier 1782. Page 509 : Sans date, sans lieu, De Galvez à Bellecombe. Récapitulatif du poids et du prix des effets qui composent les deux équipages ( de siège et de campagne). Pages 511 à 518 : 9 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Réponse à la lettre du Ministre du 8 juin sur divers objets de service. Bellecombe est satisfait d’avoir pris les bonnes décisions militaires. Bellecombe a été honoré de la confiance du Roi. Inutilité des menaces auprès des milices donc Bellecombe passe à la punition. Une très infime part de l’argent venant de la Havane est donné à St Domingue. Le général Galvez est obligé de faire des emprunts aux Français. Bellecombe s’engage à tenir la comptabilité régulièrement. Page 519 : ILLISIBLE Pages 521 à 523 : 22 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. De Grimouard arrive au Cap suite à sa défaire sur le vaisseau Le Scipion contre deux vaisseaux anglais. Il s’est surtout occupé à secourir les malades et les blessés. Bellecombe sollicite les bontés du Roi pour Grimouard. Recommandation également des officiers de Grimouard. Pages 525 à 538 : 23 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Contrariété suite au convoi envoyé en Nouvelle Angleterre. 2 bâtiments sont tombés entres mains ennemies. Manque de matelots pour faire face à l’ennemi. Les matelots du commerce ne peuvent être une ressource pour les opérations du Gouvernement. De Vaudreuil est à Boston le 20 novembre. Manque d’approvisionnement à St Domingue comme il ne manque nulle part ailleurs. Manque de ressource comme le bois également. Page 539 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des navires formant le convoi de la Sybille. Page 541 : Page de garde : St Domingue, De Lilancourt, année 1782 Pages 543 et 544 : 3 janvier, sans lieu, de Lilancourt à de Castries. Envoie du régiment de Touraine au fort Dauphin. A peine arrivés, qu’une maladie épidermique s’est répandue. La qualité de l’eau et la saison sont en causes. Peur de l’arrivée de l’escadre en cas de maladies. Page 545 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des malades dans les divers hôpitaux de la colonie à l’époque du 1er janvier 1782. Page 547 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des troupes à St Domingue au 1er janvier 1782. Page 549 : 6 janvier, au Cap, Lilancourt à de Castries. Envoie d’une lettre avec en documents annexes les états des malades et des troupes à St Domingue. Pages 551 et 552 : 7 janvier, au Cap, de Lilancourt à de Castries. Exposé sur la Jamaïque. Page 553 : Page de garde : St Domingue, de Bongars. Page 555 : 13 mars, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Ordonnance. Bongars dresse un bilan des finances de la colonie. Ordonnance sur la trésorerie. Pages 557 à 559 : 26 mars, au Cap, Bongars à de Castries. La flûte du Roi, La Marie du Hâvre, armée et affrétée par le Roi a réalisé son convoi puis s’échoue sur les côtes d’Isabélite. Les ennemis ont brûlé le bâtiment. Bongars recueille quelques naufragés de cet incident. Embarquement d’un capitaine et de son second sur le navire du Roi La Diane, l’un des 4 parlementaires chargés du transport des prisonniers en Europe. Pages 561 à 563 : 20 juillet, au greffe de l’intendance, Tiphaine greffier, sans destinataire. Extrait des registres du greffe de l’intendance des îles françaises de l’Amérique sous le vent. Ordonnance en 3 articles au sujet de l’argent rapporté par la Geôle de Port au Prince qui devra être versé en faveur des pauvres et des malades des hôpitaux. Pages 565 à 567 : Duplicata des pages 561 à 563. Page 569 : 30 mai, au Cap, Bongars à de Castries. Embarquement sur le navire le St Nicolas d’Etienne Ledoux, condamné aux Galères par le Conseil Supérieur du Cap. Pages 571 à 575 : 30 mai, au Cap, Bongars à de Castries. Envoi des bordereaux des récépissés et des lettres de change. L’approvisionnement par les neutres avait un coût qu’il fallait régler en espèces. L’Iris est arrivé. Elle a apporté les 80 000 piastres. Affaire surprenante : Bongars a demandé à un Anglais de ramener de la Jamaïque 2 000 barils de farine à un prix très modéré : 205 livres contre 230. Pages 577 à 579 : 30 mai, au Cap, Bongars à de Castries. Etat des récépissés délivrés au trésor de la Marine du Cap. 30 mai 1782 Pages 581 à 586 : 30 mai, au Cap, Bongars, sans destinataire. Etat des lettres de change tirées par le trésorier du Cap. 30 mai 1782. Page 587 : 30 mai, au Cap, Bongars à de Castries. Annonce du convoi pour la France. Vaisseaux du Roi, le St Esprit, le Destin, Le Conquérant et le Réfléchy.
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Commentaires
J
Bonjour, comment faire pour lire les pages 459 à 462 de l'année 1782<br /> <br /> je suis à la recherche d'informations sur Beniowsky<br /> <br /> Merci pour votre réponse
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Master 1 Archives St Domingue
  • Réalisation sous la direction du Professeur Patrick Villiers d'un mémoire portant sur les correspondances entre St-Domingue et la métropole (série C9-A) dans les années 1780 et 1782.Etude des approvisionnements et des convois. ULCO Le Musée
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