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Master 1 Archives St Domingue

14 mars 2009

Inventaire année 1782

Page 1 : Page de garde de la correspondance général de St Domingue année 1782. Page 3 : Saint Domingue, 1782. De Lillancourt Gouverneur général par intérim et Le Brasseur Commissaire Général Ordonnateur. Pages 5 à 18 : 1782, 11 janvier, au Cap, Le Brasseur et de Lillancourt à de Castries. Rapport du Conseil de Port au Prince. L’enregistrement de la commission du Sieur Farquereau n’a pas été refusé. Cependant, différentes raisons sont données pour justifier le refus de l’ordonnance des poisons au Conseil de Port au Prince : inutilité de cette ordonnance. Elle est nuisible et donc il faut de nombreuses précautions. Pages 19 à 21 : 11 janvier, au Cap, Le Brasseur et de Lillancourt à de Castries. Explication des travaux réalisés pour faire une fontaine afin d’alimenter les vaisseaux du roi. La fontaine est reliée à la mer. Pages 23 à 31 : 11 janvier, au Cap, le Brasseur et de Lillancourt à de Castries. Réalisation de travaux d’un chemin reliant le débarquement au fort pour le transport de l’artillerie. Dépense réclamée au roi. De Gassonville a donné une aide précieuse. Ce dernier a découvert le chemin. Il a dirigé les canonniers. Volonté d’ouverture d’un chemin de voiture qui faciliterait les cultivateurs mais ces derniers verraient cela d’un mauvais œil. Ce chemin faciliterait les correspondances entre la rade et le Cap. Volonté de construire un fort plus respectable afin d’éviter la prise de bâtiments français par des frégates ou corsaires ennemis. Rapport de De Gassonville en pièce jointe sur l’exécution des travaux. Eloge pour Belly capitaine de milice. Demande de lettre de satisfaction pour ce dernier afin de montrer l'exemple aux autres habitants du même quartier. Pages 33 et 34 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Gassonville a découvert un chemin facilitant le passage de l’artillerie. Explication détaillée des travaux effectués. Généraux et intendants ont donné une gratification de 100 portugaises aux canonniers. Belly a aidé De Gassonville en envoyant une partie des esclaves de son atelier. Page 37 : Page de garde : Saint Domingue 1782. De Bellecombe Gouverneur Général et De Bongars Intendant. Pages 39 à 41 : 21 février, au Cap, Bellecombe et Bongars. Extrait des registres du Conseil Supérieur du Cap imprimé par l’Imprimerie Royale du Cap. Ordonnance stipulant qu’il y a assez de subsistance dans les magasins du roi et ceux des particuliers pour attendre l’approvisionnement. Amendes prévues de 3 000 livres pour les capitaines en cas de surplus d’approvisionnement. Chaque navire fera l’objet d’une visite avant départ. Ordonnance imprimée et affichée tant que possible. Pages 43 à 48 : 26 avril, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Plainte concernant le manque de vivres, d’argent, de poudre et l’arrivée de 10 000 Espagnols à loger et nourrir. Présence de vin dans la colonie et au Cap. L’intendant donne ordre d’acheter de la farine qui diminue fortement entre la confection du biscuit et l’approvisionnement des Espagnols. L’arrivée du convoi d’approvisionnement est retardée et la quantité de farine n’est pas celle espérée. Réclamation d’un convoi d’approvisionnement. Disette d’argent. Argent non reçu des Espagnols. Demande d’argent pour le service courant. Emprunt à un négociant par lettres de change ou récépissés (80 000 piastres). La flotte manque de poudre et il est impossible de lui en fournir. Pages 49 à 53 : 19 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. La situation a empiré. Vivres pour 4 mois au Port au Prince. Au début, on donnait des vivres aux Espagnols mais ceux-ci avaient de la farine et la gardaient pour eux. Grosse demande de l’escadre en comestible. L’Intendant a du donné des lettres de change aux fournisseurs et aux hôpitaux. La Ville de Paris a été prise. Attente d’argent pour donner à l’escadre. Page 55 : 19 mai, au Cap, Bongars. Etat de consommation journalière en pain et viande salée pour toute la population du port : troupes françaises et espagnoles, vaisseaux, frégates, bâtiments de guerre, hôpitaux et militaires. Pages 59 à 63 : 19 mai, Bellecombe et Bongars à de Castries. Plainte concernant le manque de vivres avec des chiffres détaillés. Pages 65 et 66 : 19 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Les problèmes à Saint Domingue ne leur permettent pas de s’occuper comme il le faut de leur travail. Il faut connaître les abus et y remédier. La guerre a amené des abus qui ont même lieu là où la guerre n’a pas frappé. La paix est nécessaire pour une bonne administration. Pages 69 et 70 : 19 mai, Bellecombe et Bongars. Problème d’administration. Départ d’un convoi fin mai début juin mais ils craignent une attaque anglaise. Bellecombe annonce que le convoi partira le 15 juin pour la France. Page 73 : 19 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries, sur le convoi et la peur des Anglais. Départ prévu du convoi pour le 15 juin. Pages 77 à 79 : Duplicata des pages 49 à 53. Pages 81 et 82 : 27 mai, sans lieu, sans expéditeur, à Bellecombe et Bongars. Duplicata d’une lettre du Secrétaire d’Etat de la Marine à Bellecombe et Bongars en garde de ne pas dégarnir des objets sur demandes des Etats-Unis pour conserver la sûreté de la colonie. Page 83 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Mémoire du Sieur Girard. Demande de naturalisation d’un étranger (Suisse) pour cause de succession. Page 85 : 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Lettre d’appui à la demande de Girard pour une naturalisation. On y vante ses mérites : 18 ans dans la colonie, religion apostolique et romaine, lieutenant de milices. Pages 87 à 89 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Lettre du notaire du roi le 6 avril 1781. Acte notarié sur la naturalisation du Sieur Girard. Présence d’un sceau. Pages 91 et 92 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Extrait d’acte de baptême du fils de Girard. Date du 7 mai 1782. Acte notarié émanant de l’Hôtel du Petit Goave. Présence d’un sceau. Pages 93 et 94 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Acte notarié de Suisse vantant les mérites de Girard. Présence d’un sceau Pages 95 et 96 : Annexe de la lettre du 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Acte du Conseil de Ste Croix en Suisse. Acte officiel. Présence d’un sceau. Pages 97 et 98 : 30 mai, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Rapport d’enregistrement des mesures du Roi dans la dépêche du 30 novembre 1781 concernant les successions vacantes, les chemins publics et particuliers (édit), les missions (ordonnances) et les biens des fabriques des églises (ordonnances). Pages 99 à 107 : 30 mai, sans lieu, Bellecombe et Bongars à de Castries. Duplicata de la lettre des pages 97 et 98. Présence d’une lettre de Bouillé du 28 février 1782. Des dispositions sont contraires au bien ou service du roi, concernant l’artilleries et les fortifications ; la réunion des magasins d’artillerie et de fortification à ceux de la marine ; le droit de l’intendant de disposer des poudres et le mélange des effets de l’artillerie et de ceux de la marine. Page 107 : 9 avril, sans lieu, D’Arbaud, sans destinataire. D’Arbaud a suspendu les mesures du roi concernant les dispositions et règlements sur le service économique de l’artillerie. Pages 109 à 111 : 15 juin, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Détérioration de l’état de la colonie. Apparition de maladies qui touchent les troupes. 4 000 malades. Ravitaillement par les neutres. Maladies provoquées par la viande. Négociation pour le paiement des neutres. Plus de ravitaillement venant de France. Approvisionnement grâce aux produits venus des îles de Ste Croix et de St Thomas. Page 113 : 7 juillet, Versailles, à Bellecombe et Bongars. Ordonnance concernant le service des nègres au Môle. Il faut lutter contre les abus. Page 115 : 7 juillet, Versailles, à Bellecombe et Bongars. Le canal qui amène l’eau n’est pas assez performant et donc son coût est jugé démesuré. Pages 117 et 118 : 19 juillet, au Cap. Extrait des registres du Conseil Supérieur du Cap. Pages 119 à 123 : Duplicata du 25 juillet 1782 de Bellecombe et Bongars à Don Bernardo de Galvez. Un propriétaire français est retenu à bord de son vaisseau par une garde espagnole. Ce navire avait été vendu par les Espagnols à un Français. L’homme se dit Espagnol ou Français selon ses besoins. L’affaire est portée au haut commandement espagnol. L’homme se nomme Lagarde en français et Jean Lagardia en espagnol. Pages 125 à 132 : 28 juillet, sans lieu, Don Bernardo de Galvez à Bellecombe et Bongars. Il considère la lettre comme une plainte. Le prétendant français serait un prisonnier espagnol. Pour lui, le bâtiment est espagnol. Mise en doute de la pièce de vente. Le propriétaire nouveau est un imposteur venant de Caracas. Pas de pièce prouvant la propriété française. L’extrait baptistaire ne prouve rien pour de Galvez hormis la religion de la personne. Il est mécontent de l’accusation faite contre sa nation. De Galvez instruit les autorités espagnoles. Les monarques doivent estimer qui a été le plus blessé. Pages 133 à 137 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, aux généraux et intendants des îles françaises de l’Amérique sous le vent. Lagarde est natif de Pau. Il a l’autorisation d’être remboursé en prenant possession de la goélette Sainte Ritte. Un sergent et une garde espagnole à bord l’en empêchent. Lagarde porte requête ayant toutes les pièces prouvant qu’il pouvait partir en convoi. Les généraux donnent ordonnance de rendre le bâtiment à Lagarde étant donné que c’est la France qui a autorité en ce lieu. Lagarde est prisonnier et réclame l’aide du roi de France. Pièces justificatives jointes. Pages 139 et 140 : 12 juillet, à bord de la Sainte Ritte, Lagarde au major Cuesta. Demande de liberté de Lagarde détenu à bord de Sainte Ritte. Lagarde veut être sur terre afin de se défendre. Il propose une caution pour le bâtiment. Annotation de Cuesta le 13 juillet 1782 car pas besoin de caution comme le bâtiment est bien gardé. Traduction de la lettre de Lagarde par des interprètes. Page 143 : 13 juillet, sans lieu, Juan Lagardia à Cuesta. Lettre originale en espagnol non traduite. Pages 145 et 146 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le Sieur Mouseray a pris la place de juge laissé vacante après la mort du Sieur Lemoine. Mais ce dernier refuse le poste à cause de sa mauvaise santé. Pages 147 et 148 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Un juge demande la confirmation de sa nomination par un brevet du roi. Pages 149 et 150 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le Sieur Andrieu de Saint André qui a obtenu la place de capitaine de port à Saint Louis demande d’être conforté dans sa place par un brevet du roi. Les intendants conseillent de ne lui accorder aucun appointement. Pages 151 et 152 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le Sieur Sauteyron veut revenir en France car étant avocat, il est trop peu occupé à Saint Domingue. Page 153 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Augmentation de traitement du député de Saint Domingue. Page 155 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Bonne réception des lettres patentes concernant la noblesse du 23 octobre. Les intendants veilleront à leurs exécutions. Page 157 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Bonne reception d’une dépêche visant à rayer un discours du Procureur Général sur les registres du Conseil Supérieur. Pages 159 et 160 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Demande de naturalisation du Sieur Lelièvre. Dans la colonie depuis 30 ans, marié, deux enfants, cultivateur, avec une bonne réputation, de religion catholique. Pages 161 et 162 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le Sieur Desgaraine fils est mort peu de temps après sa nomination. Bellecombe et Bongars renvoient les lettres de dispenses d’âge alors non nécessaires et les redemanderont au besoin. Pages 163 et 164 : 30 juillet 1783, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Relatif à une dépêche du 17 mai 1782. Remboursement émanant du roi concernant le nègre Achille tué par accident (2500 piastres). Pages 165 et 166 : 1782, 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Récapitulatif des pièces de l’affaire Lagarde. Pages 167 et 168 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Le produit de la geôle est versé au curé pour les pauvres de la ville (au Cap). Volonté de l’appliquer aux pauvres malades des hôpitaux. Pages 169 à 171 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Affaire du 13 août 1779 sur l’assassinat d’une négresse par Baudouin condamné à être pendu. Baudouin en prison depuis 3 ans. Demande de grâce. Pages 173 à 178 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Les Sieurs Gaissardes et Joubert ont le droit de donner la crosse aux nègres marron qui ont commis des excès. Ils sont tout de même condamnés à payer 2 000 livres pour la valeur du nègre tué. Pages 179 à 194 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe et Bongars à de Castries. Réponse à la demande sur les divers objets relatifs à l’administration de Reynaud et Le Brasseur. Rapport de Rabié ingénieur en chef pour les deux chemins (coût de 50 000 livres). Impossibilité de continuer le chemin projeté par De Vaudreuil (pas de devis réalisé). Coût final de 100 224 livres car la vente d’un terrain a été faite mais il n’appartenait pas au roi. Il faudrait que le roi achète les terrains de la Fossette. Ouvrage nécessaire que la fontaine du fort Dauphin. Il faut continuer la fontaine : ordre donné au Sieur Artaud. Affaire de transport de sel à la Havane. Travaux de la place Clugny donné au Sieur Artaud pour 67 000 livres alors que deux autres entrepreneurs demandaient 42 000 livres. Pas d’échange du bateau Le Cerf. Ce dernier a été vendu à Sieur Lavaud. Achat d’un bateau avec l’argent qui s’est perdu. Somme de 20 831 livres et non 55 000 livres versés au Sieur Lavaud. Excès de complaisance à l’égard des officiers. Pages 195 à 201 : 26 juillet, sans lieu, Rabié, sans destinataire. Mémoire sur la construction du front de fortification au sud du Cap, sur les chemins exécutés à la sortie de la ville, sur les positions des batteries construites pour l’hôpital, sur la nécessité que le roi achète le terrain de la Fossette. Pages 203 à 206 : 1780, 1er octobre, du commissaire et contrôleur de la marine à St Domingue, sans destinataire. Extrait des minutes déposées et enregistrées au contrôle de la Marine à Saint Domingue. Copie du procès verbal de visite et de condamnation du Cerf commandé par Varage. Mauvais état des navires. Le Brasseur, Duplessis Vrascaud, Albert de Saint Hipolite, major de l’escadre, contrôleur de la marine et le capitaine du port condamnent les bâtiments de n’être plus aptes au service du roi. L’intendant a le droit de vendre ces bâtiments aux enchères. Copie de l’ordre de Monteil, chef d’escadre à Varage. Ce dernier doit laisser le Cerf à disposition de Le Brasseur afin que celui-ci charge les personnes concernées de le désarmer. Cela est convenu avec les chefs de la colonie. Varage doit vider le navire et en tirer le meilleur parti afin de dédommager le roi. Promotion pour Varage qui devient sous-officier à bord du Palmier du Cap le 30 septembre 1780. Signé Monteil. Copie du procès verbal de vente du Cerf. 10 octobre 1780. Vente à 10 heures du matin du Cerf au plus offrant. Le paiement doit se faire en argent comptant et dans les 24 heures. Pages 207 à 219 : 1780, 16 août, sans expéditeur à le Brasseur. Extrait des minutes déposées au contrôle de la Marine à Saint Domingue. A Le Brasseur intendant à Saint Domingue. Affaire à régler des remboursements entre un négociant du Cap et le prédécesseur de Le Brasseur. Pages 221 à 225 : ILLISIBLE Pages 229 à 231 : 1er février, à bord de la Néréide en rade à la Martinique, Bellecombe à de Castries. Le Marquis de Brass. Récit de la traversée entre Bordeaux et la Martinique (50 jours). Ils étaient seuls depuis le 10ème jour. De Bouillé et de Grasse à l’attaque de Saint Christophe. De Brass doit les rejoindre pour leur faire part des dépêches du roi. De Grasse et Bouillé vont avoir des dépêches par des convois espagnols venu de Cadix. Bellecombe doit rejoindre Saint Christophe dans deux jours. Pages 233 et 234 : 4 février, au Camp de De Bouillé à Saint Christophe, Bellecombe à de Castries. Bellecombe a vu Bouillé et de Grasse. Ces derniers rendront leurs décisions au Secrétaire d’Etat à la Marine concernant le retard du convoi et de leur position actuelle. Visite des travaux de Bouillé puis retour à bord de la frégate avec De Grasse pour Saint Domingue. Rencontre de deux frégates anglaises sans accident ni blessés. Pages 235 et 236 : 14 février, au Cap, Bellecombe à de Castries. Arrivée d’un convoi espagnol de 4 000 hommes. Bellecombe et Bongars espèrent subvenir à leurs besoins. Préparation d’une expédition pour la Havane pour faire part à Don Solano et Don Galvez de l’arrivée du convoi et des dépêches de De Grasse et de Bouillé donc Bellecombe ne sait rien. Ordre et tranquilité à Saint Domingue. 5 000 hommes à Saint Domingue. 121 823 livres. Il faut affréter une frégate pour la Havane pour aller chercher des fonds. Liste des vivres présents. La Marquise de Gauart est le seul bâtiment qui soit arrivé. La Néréide et la Railleuse protègent le commerce sur la côte. Cette lettre arrivera par convoi américain. Pages 239 à 242 : 29 février, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Arrivée De Galvez le 27 février sur le vaisseau de guerre le Saint Jean. Envoi d’une escadre espagnole pour sauver la frégate La Courageuse qui possède à son bord 600 000 piastres. Refuge dans un port espagnol. Prise de Saint Christophe par les Français. Pages 243 à 246 : 24 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Inventaire de l’arsenal à l’arrivée de Bellecombe. Excellent atelier de canons de fer de Dupuis donc commande de 10 pièces : 3 destinés au vaisseau le Duc de Chartres qui doit porter les prisonniers de guerre de Saint Christophe. Préparation de l’équipement pour faire camper un corps de 6 000 hommes par de Bongars qui a déjà tout préparé. Tous les boulangers du Cap s’attèlent à la préparation de biscuits pour ne pas retarder le départ de l’escadre. Pages 247 à 249 : 24 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Les 4 vaisseaux envoyés par de Grasse et Bouillé ayant pour but l’acheminement des prisonniers de Saint Christophe pour l’Angleterre se sont ravitaillés au Cap. Bellecombe qualifie de chaotique l’administration intérieure. Confusion dans les magasins. Même constatation de Bongars. Peu d’installations militaires. Fort Dauphin est un ouvrage ridicule. Presque toutes les batteries ont besoin de réparation. Les travaux des chemins sont mal exécutés. Besoin de gestion de l’effectif des milices. Abus des avocats et procureurs. Pages 251 à 258 : 26 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. La frégate La Courageuse est rentrée le 8 mars. 1 000 piastres donnés par les Espagnols sur les 400 000. De Galvez et Savedra auront besoin d’une frégate française. Préparation à l’accueil de troupes de passage. Bellecombe et De Galvez font tout pour apaiser Français et Espagnols afin d’éviter les conflits. Excellente entente entre Bellecombe et De Galvez et De Savedra. Page 259 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire.Etat des comestibles entrés au Cap sur des bâtiments neutres pendant les mois de mai, juin et juillet 1782. Pages 261 à 262 : 26 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. Bellecombe envoie la frégate La Railleuse pour escorter les 4 vaisseaux parlementaires qui transportent les prisonniers anglais. Aucune marchandise ne doit être embarqué. Page 263 : 23 mars, sans lieu, Bellecombe au capitaine de port. Il avertit le capitaine de l’interdiction de charger des marchandises sur les 4 vaisseaux parlementaires sous peine de sanctions. Page 267 : Sans date, sans lieu, Bellecombe, sans destinataire. La frégate La Courageuse doit faire des réparations sur son gouvernail. Dès qu’elle sera réparé, elle sera envoyé sur la côte afin d’éloigner les corsaires. Pages 269 à 272 : 30 mars, au Cap, Bellecombe à de Castries. De Lillancourt prévient d’une querelle entre troupes françaises et espagnoles : un civil agressé par des Espagnols demande l’aide de troupes françaises. Un soldat français reçoit un coup de baïonnette. Quelques soldats français et espagnols blessés. De Galvez et Bellecombe décident de former une garde mixte de 50 hommes. Pages 273 à 279 : 7 avril, au Cap, Bellecombe à de Castries. Trois des 4 navires parlementaires sont rentrés au Cap. Les bâtiments américains partiront le 8 escortés par La Railleuse. Retour de la frégate La Néréide avec deux prises. De Brass n’est pas d’accord sur la moitié de la prise réclamée par De Linières capitaine de La Railleuse. Bellecombe défend De Brass. L’intendant espagnol de la Havane n’enverra pas d’argent. La Vestale, expédiée de la Martinique, est arrivée ce jour sans lettre du Comte de Grasse ni de Bouillé. Bellecombe ignore ce qu’il se passe aux îles du vent. Post scriptum du 8 : De Solano vient d’entrer avec son escadre. Actuellement 11 vaisseaux espagnols de guerre au Cap. Pages 281 et 282 : 18 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Etat des effectifs joint à la lettre. Demande de dédommagement suite au passage des troupes étrangères. Impossible de loger toutes les troupes. Pages 283 à 291 : 1782, sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des troupes françaises et espagnoles qui se trouvent à Saint Domingue. Page 293 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire.Etat des troupes espagnoles dans l’île de Saint Domingue (classées par canton). Page 295 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat et situation et répartitions des troupes françaises à Saint Domingue. Pages 297 à 300 : 29 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Echange de prisonniers avec l’Amiral Hood. Bellecombe réclame les canonniers et les grenadiers d’Armagnac pris sur La Ville de Paris en échange de soldats pris à Saint Eustache et à Saint Christophe. Il va à l’encontre du roi mais pour le bien de la défense de la colonie. Bellecombe fera porter les prisonniers anglais à la Jamaïque. Bellecombe a pris l’avis De Bouillé. Pages 301 à 304 : 29 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Un homme est emprisonné pour avoir insulté un Espagnol dans un café. De Galvez le dénonce comme déserteur et espion anglais. Il ne se reconnaît que comme déserteur. Le prisonnier est ramené en France sur la flûte du roi Le Saumon. Il se nomme Morel et se prétend fils de conseiller du roi. Bellecombe préfère l’envoyer en France que de le livrer aux Espagnols. Post-scriptum : le navire prévu va finalement à Londres porter des prisonniers. Pages 305 à 309 : 30 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Envoi de Moreau à la Jamaïque avec des instructions particulières pour traiter avec les noirs des montagnes bleues. Promesse de bon traitement si ils rallient le camp français. Prise de note sur les terres, les travaux de défense effectués. Moreau a fait du bon travail. Bellecombe veut le renvoyer en Jamaïque. Visite des travaux exécutée par le gouverneur Campbell. La Jamaïque devient difficile à attaquer. Pages 311 à 314 : 29 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Préparation de l’expédition convenue par De Vaudreuil et De Bouillé donc l’exécution est confiée à de Lapérouse. Bellecombe fait embarqué sur le Sceptre et les frégates L’Astrée et l’Engageante 290 hommes commandés par De Rostaing. Monneron, ingénieur chargé des travaux militaires et Mansuy ingénieur géographe sont à bord du convoi. Bellecombe pense que le vaisseau et les 2 frégates auraient été plus utiles à protéger les côtes. Volonté de protection contre les Anglais. Pages 315 à 317 : 30 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Rajout de 300 hommes environ du régiment d’Auxerrois sur l’expédition de De Vaudreuil et De Bouillé. De Damard, colonel d’Auxerroise, embarque aussi. De Vaudreuil voudrait envoyer que les vaisseaux l’Experiment et Le Sagittaire. Toutes les troupes des îles du vent restent à bord des vaisseaux. Pages 319 à 321 : 30 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Départ du convoi pour la France prévu pour le 15 juin finalement départ le 31 mai. 113 bâtiments prêts au départ. Le second départ aura lieu dès que les Anglais ne seront plus une menace. Pages 323 à 325 : 30 mai, au Cap, Bellecombe à de Castries. Arrivée de farine suffisante à la consommation par les Américains. Le Saint Augustin (vaisseau de guerre espagnol) et la frégate l’Iris ramènent de l’argent de la Havane. Bellecombe et Bongars sont malades. Arrivée des convois grâce à la mauvaise position de l’Amiral Hood. Pages 327 à 338 : 17 juin, au Cap, Bellecombe à de Castries. Mouvements des hôpitaux. Page 339 : Document annexe des pages 327 à 328, le 17 juin, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Mouvement des hôpitaux du 19 juin 1782 Page 341 : Document annexe des pages 327 à 328, le 17 juin, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Etat des bâtiments du convoi de Port au Prince arrivé au Môme St Nicolas le 5 juin et qui doit partir incessamment dans l’escorte de 4 vaisseaux. Page 346 : Document annexe des pages 327 à 328, le 17 juin, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Etat des troupes. Page 347 : Document annexe des pages 327 à 328, le 17 juin, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Etat et situation des troupes à l’époque du 16 juin 1782 Pages 349 à 351 : 18 juin, au Cap, Bellecombe à de Castries. Bellecombe a pu se procurer l’état des effets d’artillerie le 17 juin. Beaucoup d’effets sont en mauvais état. Les réparations ne sont pas encore effectuées car les forges et charpentiers du roi sont employés pour l’armée navale. Page 353 : Page de garde : Saint Domingue. Artillerie. 1782 Pages 355à 359 : 17 juin, au Cap, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des canons et effets d’artillerie remise dans le Parc et le magasin d’artillerie par les vaisseaux du Roi et des bâtiments de transport, en Avril, mai et juin 1782. Etat des effets et munitions embarqués sur le vaisseau Le Sceptre et les frégates l’Astrée et l’Engageante. Etat des canons et effets d’artillerie, remis dans le parc d’artillerie par le bâtiment de transport le Duc de Chartres, en mars 1782 Page 361 : 4 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. De Vaudreuil annonce que les signaux de l’armée De Grasse sont entre les mains anglaises. Cette lettre partira sur 4 expéditions différentes. Pages 363 à 367 : 11 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Rappel sur le manque de vivres. Aide de grand secours des neutres. Le pain a coûté jusque 30 sols la livre. 19 000 barils reçus depuis 2 mois. La farine américaine est moins chère que celle d’Europe. 10 000 quarts de farine arrivée à New York. Les Espagnols ont refusé le combat et les troupes françaises sont décimées par la maladie. La présence espagnole provoque des troubles sauf pour l’argent qu’ils ramènent. Les Espagnols consomment beaucoup de vivres. Difficulté d’approvisionner l’escadre. Les salaisons sont à 170 livres le baril. L’île de Saint Thomas a approvisionné Saint Domingue. Page 369 : Document annexe des pages 363 à 367, le 11 juillet, au Cap, de Bellecombe à de Castries. Etat des comestibles entré au Cap par les vaisseaux neutres en mai et juin 1782. Pages 371 à 375 : 11 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Pas de nouvelles des 2 hommes envoyés à la Jamaïque depuis le 12 juin et le départ de La Défiance, Bricq du roi. 38 vaisseaux dans le port de Kingstown. Débarquement du convoi (1er juin) par le canal de Bahama en passant par l’ouest de Cuba. L’Amiral Rodney avait prévenu qu’un second convoi partirait. Le navire parlementaire a rapporté 4 enseignes de vaisseaux, 5 lieutenants de frégate, 11 gardes de la marine et 8 officiers de troupe. Fausse nouvelle comme quoi Saint Christophe était attaqué et que Barrigton était arrivé aux îles du vent. Impossible pour le moment qu’une escadre opère aux Antilles. Pages 377 à 379 : 11 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Lettre reçue le 7 juillet d’une lettre du 9 juin De Rochambeau à Williambourg. Ce dernier est inquiet suite à la défaite du combat du 12 avril. Il veut envoyer des farines mais peu de moyen pour faire escorter les convois. Le brigadier Ohara est parti de Charlestown avec 1 000 hommes pour renforcer la garnison de la Jamaïque. Evacuation de Charlestown et Savannah afin de renforcer New York. Réception d’une lettre De la Ville Brune qui ne peut approvisionner St Domingue : il manque d’hommes pour armer l’expédition. Pages 381 à 383 : 19 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Un vaisseau Ostendois partant pour Bordeaux va acheminer le courrier. Rochambeau envoie 3 à 4 000 barils pour la colonie. Réparation pressante des bâtiments du roi afin de permettre le départ de convoi avec escorte. Présence de 3 bâtiments de guerres ennemis au large. Rentrée de 12 bâtiments de Provence du convoi de l’Alceste. Le Comte d’Antichamps est revenu des îles du vent dans un mauvais état. Il repart en France à la fin du mois sur la frégate Le Maréchal de Mouchy. Regret de Bellecombe de ce départ. Pages 385 à 387 : 31 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. La lettre du 19 juillet qui devait partir pour Bordeaux sous pavillon Ostendois est confié à Lambert, lieutenant de frégate, passager sur ce bâtiment. Des armateurs défendent le capitaine de prendre des lettres. La lettre n’a pas été donnée. Mécontentement auprès du Capitaine Doucet de Rouen et de Lambert. Départ des lettres sur la frégate marchande Le Maréchal de Mouchy avec Le Comte d’Antichamps. Pages 389 à 393 : 31 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Envois de bâtiments de guerre pour protéger l’atterrage du convoi annoncé par De Rochambeau. De Galvez doit faire sortir un vaisseau de guerre espagnol pour se joindre aux frégates. Il rajoute une corvette et Bellecombe un vaisseau : Le Scipion. Arrivé à Porto Plata, ce vaisseau doit revenir au Cap. La Courageuse, dès réparation, partira avec le Brick St Louis chercher les navires marchands Au Port au Prince pour le prochain convoi. La Courageuse partira ensuite au bas de la côte avec les flûtes du roi : Le Pluvier, l’Elisa et la Royale Amitié. Le Pluvier restera au Cap tandis que les 2 autres iront au Port au Prince. 15 jours de croisières prévus sur le Cap Savannah. Lettre du 30 juin du Cap Henry De Lomaria : il décape les flûtes du roi le Cockrain, la Jeune Pauline avec 2 000 quarts de farine et autant de biscuit. Ce convoi arrivera au Cap Savannah en même temps que les autres flûtes. Bâtiment américain ramène 3 000 quarts de farine. Pages 397 à 400 : 31 juillet, au cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Le vaisseau Le Palmier est réparé et De Martelly est disposé à la ramener en France. Départ prévu le 20 août. Convoi d’une trentaine de vaisseaux. La Railleuse repart aussi en France pour réparation. Le Scipion et la Courageuse restent au Cap. La Courageuse sera envoyée ultérieurement pour réparation. Il faudrait 8 frégates à demeure dans la colonie : 3 dans la partie du Môle et du Port au Prince, 2 au sud et 3 au Cap. Espérance que le mauvais temps a chassé les croiseurs dans le Sud. Pages 401 à 403 : 31 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Aucune nouvelle du vaisseau parlementaire ni des 2 hommes envoyés à la Jamaïque. Ignorance de ce qu’il se passe dans cette île anglaise sauf l’arrivée de 12 vaisseaux de guerre sans savoir de quel ministère ils sont. Pages 405 et 406 : 31 juillet, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Une frégate, La Bayonnaise, parti du Port de Bayonne seule, repart en France seule. Elle se réunit quand même à la frégate marchande de Bordeaux Le Maréchal de Mouchy. Pages 407 à 412 : 1er août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Reception de 8 lettres du ministre. Les 4 premières étant des duplicata. Une du 7 juin est un triplicata à laquelle Bellecombe va répondre. Les évènements du 12 avril dispensent de répondre aux autres lettres. Demande de duplicata d’une lettre du 20 février s’il y a besoin. De Galvez et De Solano ont été informé de la réduction du fort St Philippe. Les Anglais ont évacué Savannah et Charlestown pour renforcer New York. Bellecombe va veilleur au succès de l’exécution des ordres ramenés par le Comte de Rochambeau. Bellecombe souhaite ramener l’ordre. Déchiffrage d’un Post-Scriptum de Rochambeau sur les intentions anglaises. Pages 415 à 418 : 1er août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Réception d’une lettre de la Martinique par la corvette L’Aigle qui stipule que les vaisseaux Le Sagittaire, l’Experiment et le Dauphin Royal sont arrivés après 42 jours de traversée. M de Dillon est convaincu que les Anglais vont attaquer la Martinique. Pages 419 et 420 : 2 août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Les flûtes Le Cockrain, La Jeune Pauline et l’Echarpe chargés de 2 000 barils de farine viennent de rentrer au Port. Même quantité de biscuit. Bœuf salé. Elles n’ont pas croisé le convoi devant aider leur atterrage. Pages 421 et 422 : 3 août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Le Scipion vient de rentrer en rade. La frégate La Courageuse est partie pour le bas de la côte avec le Brick le St Louis pour convoyer 15 navires marchands allant chercher du fret. Pages 423 à 430 : 3 août ; au Cap, Bellecombe à de Castries. Triplicata. Réponse à la lettre du 3 mai du ministre. Farine en quantité abondante. Pas assez de bêtes. Cupidité du Président de St Domingo. Les bouchers font de la contrebande. Augmentation de la viande de 3 sols par livre. De Galvez doit rappeler au Président de St Domingo les ordres de la cour d’Espagne. Etat sommaire des effectifs. Envoie de la dépêche du secrétaire d’Etat à la Marine par L’Aigle au Marquis de Vaudreuil. Pages 431 et 432 : 3 août, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Arrivée du vaisseau marchand Le Castor. Seynier, commandant du vaisseau Le Fendant donne des lettres pour De Castries. Pas de nouvelles de de Souillac. Pages 433 à 436 : 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Commande faite par De Galvez de trains d’artillerie. Pas de connaissance de Bellecombe de ce qui a été embarqué en France en artillerie, armes et munitions de guerre. Pages 437 et 438 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Copie de la lettre de Joseph de Galvez. Commande de trains d’artillerie. Pages 441 et 442 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Copie de la réponse de Bellecombe à De Galvez le 25 septembre 1782. Accord pour la commande faite mais Bellecombe n’a pas reçu d’ordre sur les quantités. La majeure partie de l’artillerie attendue de France est tombée dans les mains ennemies. Bellecombe va en rendre compte au ministre. Pages 443 à 445 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Copie d’une lettre du Marquis de Ségur au Comte de Vergennes, de Versailles le 5 septembre 1781. Note sur les effets d’artillerie que la cour de Madrid réclame à la cour de France. Etat de l’artillerie joint ainsi que les prix. Pages 449 à 454 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Inventaire des effets d’artillerie demandé par les Espagnols pour une expédition et qui doivent être importés par une escadre française. Page 455 : Annexe de la lettre du 27 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Copie de la lettre De Galvez à Bellecombe le 17 septembre 1782. Pages 459 à 462 : 28 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. La frégate La Sybile est bien arrivée le 27 août. Le bâtiment le Sandwich s’est échu le 16 septembre en fuyant les Anglais et Bellecombe envoie une goélette du roi pour tenter de réparer. La cargaison seule est sauvée. Arrivée du Comte de Beniowsky brigadier au service de France. Il attend au Cap la suite des ordres. Pages 463 à 481 : 28 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. La rade est sans défense donc risque pour le convoi comprenant La Courageuse et le St Louis. Bellecombe part à St Marc pour se rendre compte lui-même de cette situation rapportée. Une fois sur place, il constate que le convoi est très mal en point. Il écrit sur le champ à De Martelly afin de venir en aide pour éloigner les croiseurs. Bellecombe qualifie Port au Prince de sans défense. La Goélette du roi La Pouponne est en relâche au Port au Prince. De Neuville en est le commandant. Bellecombe lui demande d’apporter deux mortiers à St Marc. Demande de construction d’une quatrième batterie à St Marc dans le sud hors de la ville. Bellecombe se rend au Môle en passant par de nombreux points stratégiques. Bellecombe rapporte que les eaux de Boynes seraient miraculeuses. Volonté de mettre uniquement 1 500 hommes pour la défense de Môle au lieu des 4 500 annoncés. Bellecombe vante les mérites De Fontanges, major général qui commande parfaitement ses troupes. Pages 483 à 485 : 29 septembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Duplicata. Etat des bâtiments qui composent le convoi escorté par Le Palmier, La Railleuse, La Courageuse et La Galatée. Pages 487 à 493 : 31 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Réception du Lougre l’Argus le 27 octobre deux lettres du Secrétaire d’Etat à la Marine. Bellecombe envoie sa réponse à l’aide de la frégate marchande La Duchesse de Polignac. De Rochambeau et de Vaudreuil auraient trouvés des ressources à la Nouvelle Angleterre. Bellecombe hésite à envoyer un convoi sachant que les Anglais ont des vaisseaux de 50 canons. Les Anglais profitent de leur supériorité sur mer du moment. Porto Rico risque l’attaque anglaise. De Galvez a besoin de Bellecombe pour aller en mer. Pages 495 à 497 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Liste des bâtiments qui partent sous l’escorte du vaisseau du roi Le Palmier commandé par De Martelly, et des frégates La Railleuse, La Courageuse et la Galattrée. Pages 501 à 506 : 1er novembre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Réponse à la lettre du Secrétaire d’Etat à la Marine qui stipulait le départ d’un convoi pour St Domingue ainsi que les mesures prises suite au 12 avril. Les habitants de St Domingue ont un esprit très patriotique. Bellecombe fait réparer tout ce qui est possible. Réception de vivres par les neutres mais rien par les convois français qui doivent apporter munitions et ustensiles de guerre. Bellecombe ne sait rien des finances : c’est l’affaire de l’intendant. La santé de Bellecombe s’est altérée depuis son arrivée à St Domingue. Il aurait besoin de repos depuis le voyage d’août mais il ne peut pas en prendre. Page 507 : 4 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Réception de la 4ème expédition de la dépêche du ministre du 31 janvier 1782. Page 509 : Sans date, sans lieu, De Galvez à Bellecombe. Récapitulatif du poids et du prix des effets qui composent les deux équipages ( de siège et de campagne). Pages 511 à 518 : 9 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Réponse à la lettre du Ministre du 8 juin sur divers objets de service. Bellecombe est satisfait d’avoir pris les bonnes décisions militaires. Bellecombe a été honoré de la confiance du Roi. Inutilité des menaces auprès des milices donc Bellecombe passe à la punition. Une très infime part de l’argent venant de la Havane est donné à St Domingue. Le général Galvez est obligé de faire des emprunts aux Français. Bellecombe s’engage à tenir la comptabilité régulièrement. Page 519 : ILLISIBLE Pages 521 à 523 : 22 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. De Grimouard arrive au Cap suite à sa défaire sur le vaisseau Le Scipion contre deux vaisseaux anglais. Il s’est surtout occupé à secourir les malades et les blessés. Bellecombe sollicite les bontés du Roi pour Grimouard. Recommandation également des officiers de Grimouard. Pages 525 à 538 : 23 octobre, au Cap, Bellecombe à de Castries. Contrariété suite au convoi envoyé en Nouvelle Angleterre. 2 bâtiments sont tombés entres mains ennemies. Manque de matelots pour faire face à l’ennemi. Les matelots du commerce ne peuvent être une ressource pour les opérations du Gouvernement. De Vaudreuil est à Boston le 20 novembre. Manque d’approvisionnement à St Domingue comme il ne manque nulle part ailleurs. Manque de ressource comme le bois également. Page 539 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des navires formant le convoi de la Sybille. Page 541 : Page de garde : St Domingue, De Lilancourt, année 1782 Pages 543 et 544 : 3 janvier, sans lieu, de Lilancourt à de Castries. Envoie du régiment de Touraine au fort Dauphin. A peine arrivés, qu’une maladie épidermique s’est répandue. La qualité de l’eau et la saison sont en causes. Peur de l’arrivée de l’escadre en cas de maladies. Page 545 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des malades dans les divers hôpitaux de la colonie à l’époque du 1er janvier 1782. Page 547 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des troupes à St Domingue au 1er janvier 1782. Page 549 : 6 janvier, au Cap, Lilancourt à de Castries. Envoie d’une lettre avec en documents annexes les états des malades et des troupes à St Domingue. Pages 551 et 552 : 7 janvier, au Cap, de Lilancourt à de Castries. Exposé sur la Jamaïque. Page 553 : Page de garde : St Domingue, de Bongars. Page 555 : 13 mars, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Ordonnance. Bongars dresse un bilan des finances de la colonie. Ordonnance sur la trésorerie. Pages 557 à 559 : 26 mars, au Cap, Bongars à de Castries. La flûte du Roi, La Marie du Hâvre, armée et affrétée par le Roi a réalisé son convoi puis s’échoue sur les côtes d’Isabélite. Les ennemis ont brûlé le bâtiment. Bongars recueille quelques naufragés de cet incident. Embarquement d’un capitaine et de son second sur le navire du Roi La Diane, l’un des 4 parlementaires chargés du transport des prisonniers en Europe. Pages 561 à 563 : 20 juillet, au greffe de l’intendance, Tiphaine greffier, sans destinataire. Extrait des registres du greffe de l’intendance des îles françaises de l’Amérique sous le vent. Ordonnance en 3 articles au sujet de l’argent rapporté par la Geôle de Port au Prince qui devra être versé en faveur des pauvres et des malades des hôpitaux. Pages 565 à 567 : Duplicata des pages 561 à 563. Page 569 : 30 mai, au Cap, Bongars à de Castries. Embarquement sur le navire le St Nicolas d’Etienne Ledoux, condamné aux Galères par le Conseil Supérieur du Cap. Pages 571 à 575 : 30 mai, au Cap, Bongars à de Castries. Envoi des bordereaux des récépissés et des lettres de change. L’approvisionnement par les neutres avait un coût qu’il fallait régler en espèces. L’Iris est arrivé. Elle a apporté les 80 000 piastres. Affaire surprenante : Bongars a demandé à un Anglais de ramener de la Jamaïque 2 000 barils de farine à un prix très modéré : 205 livres contre 230. Pages 577 à 579 : 30 mai, au Cap, Bongars à de Castries. Etat des récépissés délivrés au trésor de la Marine du Cap. 30 mai 1782 Pages 581 à 586 : 30 mai, au Cap, Bongars, sans destinataire. Etat des lettres de change tirées par le trésorier du Cap. 30 mai 1782. Page 587 : 30 mai, au Cap, Bongars à de Castries. Annonce du convoi pour la France. Vaisseaux du Roi, le St Esprit, le Destin, Le Conquérant et le Réfléchy.
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14 mars 2009

Inventaire année 1780

Page 1 Page de garde de la correspondance générale de St Domingue année 1780. Pages 2 et 3 Page de garde : De Reynaud, Gouverneur général de St Domingue, année 1780. Page 4 à la page 14 : 1781, au Cap, De Reynaud à Castries. De Reynaud qui rend compte de son administration dans cette partie de l’Amérique. Il est devenu difficile de payer la solde des troupes. Il a l’intention de faire partir un convoi sous l’escorte de la frégate du Roi : l’Attalante composée de 40 bâtiments et commandée par M. de la Caye. Le 20 février, cinq vaisseaux et une frégate ont été aperçu à Jacmel et autant à Les Cayes le 25 février. Le Lieutenant de vaisseau, l’Archautel commande le convoi puisque M. du Monsault est mort le 5 du mois à Saint Louis. Selon lui, les ennemis ont des tactiques : s’éloigner des côtes dans le but de mieux intercepter le convoi quand il sortira. La maladie et la désertion gagnent les équipages et les moyens pour lutter sont peu nombreux. Il est nécessaire d’avoir une flotte équivalente sur place pour pouvoir lutter en cas d’attaque des navires ennemis qui sont à la Jamaïque. La sécheresse générale dans cette colonie entraine depuis novembre 1780 la privation du riz provenant de la Caroline du Sud. De plus, la perte ou le retard des approvisionnements de France impliquent, selon lui, une crainte de manquer de vivres pour les esclaves, les colons et ses troupes. Le gouverneur général s’occupe de faire régner l’ordre et de faire renaitre l’activité dans les colonies. Il critique les talents militaires du maréchal puisque cette division d’hommes payés ne sert uniquement qu’à monter la garde sur la ville du Cap. Page 15 à la page 16 : 1780, 19 mars, au Cap, Rostaing au ministre . Rostaing précise que le roi a accordé au gouverneur M. le Comte d’Argout ainsi qu’à son intendant des îles de Saint Domingue, M. de Vaivre, deux rations à tous les lieutenants et sous lieutenants qui résident dans l’île. Rostaing supplie le ministre de leur donner deux rations de bœuf et cent livres de supplément d’appointement. Page 17 : 14 avril, au Cap, De Lilancourt à Sartine. De Lilancourt parle de Philippe Bernard Rodier, fusilier de la Compagnie de dignerie au régiment du Cap depuis trois ans à la charge du roi. Il envoie le certificat des médecins et des chirurgiens du roi. Page 18 à la page 20 : 5 mai, au Cap, Reynaud et de Vaivre à Sartine. Reynaud et de Vaivre disent qu’ils vont se conformer à ce qui est prescrit aux administrateurs. M. de Reynaud explique que tous deux arrivent à faire régner la sécurité dans cet endroit. Toutefois, ils peuvent occasionner des révolutions qui pourraient être dangereuses pour le souverain qui se trouve à deux milles lieues. Page 21 : Document officiel non daté, sans expéditeur et sans destinataire. Ce document permet pour les bâtiments non pontés au cabotage de naviguer : ce dernier doit être complété avec le nom de la personne, le nombre de personnes à bord et doit se conformer aux ordonnances du roi. Page 22 à la page26 : 15 juin, au Cap, de Reynaud au ministre. Proposition d’ordonnance sur les monteurs de garde pour dénoncer les abus. Ce sont en général des matelots ou soldats déserteurs qui font ce travail et par conséquent, la marine manque d’hommes. De plus, on ne peut pas faire confiance à ces hommes puisqu’ils sont mal armés et ne sont pas attachés au territoire. Il existe un règlement pour ceux qui ne peuvent pas assurer la garde et pour ceux qui ont un certain nombre de nègres. Les soldats esclaves sont équipés, entretenus et nourris par leurs maîtres et sont commandés par des officiers exercés pendant leur tour de garde. Quant aux Blancs, ils seront employés au cabotage en tant que matelots ou marchands pour le roi. Tous les autres blancs doivent se soumettre au service militaire (infanterie ou cavalerie) comme le dit l’ordonnance du premier avril 1768 et toutes les milices et embarcadères doivent être formés en compagnie d’artillerie. Page 27 à la page30 : 16 juin, au Cap, de Reynaud au ministre. De Reynaud fait part de la ruine du cabotage à la colonie. Dans la colonie, seulement deux brigantins (Le Héros et Le Dauphin) et la corvette La Minerve peuvent poursuivre les corsaires ennemis en plus du service de mouche à l’escadre ou à des missions particulières. Il faut au moins neuf ou dix bâtiments bien armés, qui peuvent suivre les corsaires même où il y a que peu d’eau. L’intendant demande qu’on lui envoie de France, des personnes bien armées, équipées et commandées par des officiers plus expérimentés. De plus, ces bâtiments serviront à communiquer avec la cour où il est important de recevoir rapidement des avis. Ainsi, avec plus de petits bateaux près des côtes, il pourrait diminuer les tours de garde qui posent des problèmes aux habitants et qui impliquent un manque de matelots. Il dénonce les abus des équipages marchands au niveau de la désertion, il faut donc faire preuve d’une plus grande fermeté. Page31 à la page 33 : 16 juin, St Domingue, Reynaud à Sartine. Dans cette lettre, Reynaud décrit la ruine du cabotage à Saint-Domingue. Il réclame neuf à dix bâtiments. Il dénonce toujours les abus chez les équipages des bâtiments marchands. Page 34 à la page 35 : 1780, Versailles, du ministre à de Vaudreuil L’auteur de la lettre raconte que M. de Reynaud lui a envoyé une lettre le 1er juin dernier puisque le cabotage de la colonie devient très faible, ils sont pris par les corsaires ennemis et ils ne peuvent pas être poursuivis faute de moyens. Il va donc essayer d’aider M. de Reynaud dans la mesure du possible. Page 36 à la page 39 : 17 juin, au Cap, de Reynaud au ministre. M. de Reynaud écrit au Ministre dans le but d’un projet d’avoir des gens de couleurs auxiliaires pour la milice. Il manque selon lui, des hommes de couleur puisque le service d’auxiliaire à l’artillerie est pénible. Il est donc préférable d’y mettre des nègres esclaves qui seront pris dans les villes et fournis par les négociants. Il veut prouver au Ministre que les esclaves peuvent faire de bonnes choses, voire même d’éviter par la suite d’envoyer des régiments de France pour défendre la colonie. Page 40 à la page 43 : 17 juin, au Cap, de Reynaud à Sartine. Reynaud joint les plans (sans doute de la partie nord) et devis des ouvrages du Cap. L’idée est de fortifier pour que les secours de la métropole aient le temps d’arriver à leur secours avant que l’ennemi n’arrive à pénétrer. Il prévoit qu’au Cap, le peu de forces présentes soient rassemblées dans la ville. Il est cependant nécessaire de compléter les troupes. Page 44 à la page 46 : 13 mai, à la Havane, Diego Joseph de Navarre à Reynaud. De Navarre demande le secours des forces de terre et de mer pour Saint-Domingue, la Martinique et les autres possessions françaises. Il a appris que la Martinique a eu, plus de dix mille hommes de troupe et dix vaisseaux de guerre. Il demande qu’on le prévienne s’il y a des choses nouvelles concernant l’ennemi et leurs opérations. Page 47 : 14 juin, sans lieu, de Reynaud à De Navarre. Reynaud lui fournira tous les secours qu’il a à sa disposition et donnera des nouvelles dès qu’il en aura. Page 48 à la page 63 : 26 mai, au Cap, de Reynaud au ministre. Ordonnance qui concerne l’établissement de cinq compagnies de chasseurs royaux qui sont tirés des compagnies de milices des gens de couleur. François Reynaud de Villevert, chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis, brigadier d’infanterie des troupes des colonies, commandant général des troupes et milices, lieutenant au gouverneur général des îles françaises de l’Amérique sous le vent et dépendances et commandant des dites îles fait parvenir l’ordonnance. Elle est composée de trente six articles qui définissent la création des compagnies avec les gens de couleur, le nom de la compagnie (chasseurs-royaux), le commandement organisé de chaque compagnie, les droits et les devoirs de ces employés, la composition de leur ration, les appointements… Page 64 à la page 65 : 4 juin, au Cap, de Vincent à Reynaud. De Vincent répond à sa lettre et explique qu’il est normal d’accorder une ration aux officiers en proportion avec leur grade parce qu’au Môle, il n’y aucun produit et par conséquent, les vivres coûtent donc deux fois plus chers. Page 66 à la page 70 : 8 juin, St Domingue, Isidor Veralsa y Roxas à de Reynaud. Isidor Veralsa y Roxas explique qu’il faut tirer beaucoup de viande fraîche pour éviter le scorbut…Il dit cela pour le bien-être de la nation française et espagnole. Pour éviter les manques de nourriture, il faut arrêter les abus, les bandits…Il faut donc insister auprès du gouvernement français pour développer la viande salée et limiter la consommation de viande fraîche pour les officiers, les malades… Page 71 à la page 73 : 8 juin, sans lieu, le Président Espagnol à de Reynaud. Même sujet évoqué des pages 66 à 70. Page 74 à la page 76 : 18 juin, au Cap, de Reynaud à Sartire. De Reynaud reprend l’affaire des rations exposées par M. de Vincent des pages 64 à 65. Pour régler le manque de rations au Môle, il a vu avec l’intendant qu’à partir du 5 de ce mois, les officiers de cette garnison auront des rations en nature au lieu de l’argent. A chaque premier de mois, chaque bon officier et soldat permanent de cette garnison, aura un supplément de ration qu’ils ne peuvent se procurer au Môle comme des légumes par exemple. Page 77 à la page78 : 19 juin, au Cap, de Reynaud à Sartine. De Reynaud rend compte des abus sur les six bâtiments (dont La Courtance et la Mozalie) qui servent à apporter des choses aux colonies et reporter les dépêches en France. Il n’est pas nécessaire que ces bâtiments soient escortés, ce sont des dépenses inutiles. Page 79 à la page 81 28 juin, au Cap, de Reynaud à Sartine. Le Comte d’Antichamp a accepté le commandement par intérim de la partie du sud. Il mérite donc de recevoir une lettre de satisfaction de la part du roi et de lui accorder une gratification. Il préférerait dans la mesure du possible avoir la partie de l’ouest. Ce document est complété d’un tableau qui indique les garnisons dans les différents quartiers des îles du vent. Page 82 à la page 84 : 14 juillet, sans lieu, de Reynaud, sans destinataire. Les capitaines et les capitaines en second qui sont au mouillage dans la rade du Cap doivent donner leur avis sur ce que doit fait faire l’escadre. Il a été dit que l’escadre ne pouvait sortir parce qu’il y a avait trop de risque face aux forces ennemies plus puissantes. De plus, M. de Reynaud doit prévenir deux ports pour que ces derniers empêchent les bateaux d’Europe de venir aux îles puisque le Cap est bloqué. Page 85 à la page 87 : 18 juillet, sans lieu, de Guichen à de Reynaud. De Guichen, explique que dans quelques jours, il arrivera à Saint-Domingue avec toute l’escadre du roi. Cependant, il n’a reçu qu’un convoi de réapprovisionnement de Provence au lieu de deux. Il faut donc convertir la farine en biscuit. Le convoi qu’il a expédié de la Martinique a été pris. Page 88 à la page 91 : Duplicata des pages 85 à 87. Page 92 à la page 93 : 17 juillet, au Cap, de Reynaud à Sartine. De Reynaud autorise selon l’article 24 de l’ordonnance du roi du 13 décembre 1779 M. de Myrat à servir en tant que colonel à Saint-Domingue sans l’agrément du gouverneur général. Page 94 à la page 97 : 20 juillet, au Cap, de Reynaud à Sartine. De Reynaud explique la situation des troupes de la colonie, le manque d’hommes, mais si des renforts arrivent, il faut pour créer des logements et rendre ainsi celui appartenant aux religieuses du Cap. Page 98 à la page 102 : 21 juillet, au Cap, de Reynaud à Sartine. De Reynaud explique que le port du Cap a été bloqué du 12 au 14 juillet 1780 par une escadre anglaise, de plus ils ont pris un convoi qui était chargé de paquets. Le 19, la frégate La courageuse est entrée dans cette rade et a donné un paquet du comte de Guichen avec des instructions. Le 23 juillet 1780, la frégate du roi La Médée commandée par M. de Kgariou est entrée dans cette rade avec deux prises de corsaires : Le Britania pour l’un des deux. Page 103 à la page 120 : 21 juillet, au Cap, de Reynaud à Sartine. Le Brig et la Britania qui ont été pris par la Médée mettent cette nuit à la voile. Ils ont décidé à l’unanimité de prendre la maison des religieuses pour loger les deux mille hommes qui sont arrivés. M. de Monceau est décédé, selon Reynaud, le successeur le mieux adapté à la fonction est M. de Geoffroy, ingénieur en chef à la Martinique. Il explique que pour faire régner l’ordre, il emprisonne quelques mulâtres comme l’exemple de Chaviteau et ses enfants. Les convois ne leur parviennent pas et ils vont avoir des difficultés à réparer Le Pluton qui est entré dans cette rade le 21 de ce mois. Il demande des objets manquants dans les artilleries. Ils ont du transporter de la farine par terre de Port-au-Prince à Saint Louis. Il dénonce les abus concernant le recrutement dans la marine. Il a peu de nouvelles de la Jamaïque. Il a demandé à l’Espagne de prêter de l’argent et peut être qu’après, ils verront pour des hommes. Les boucheries ont des difficultés à s’approvisionner d’animaux. Il faudrait obliger les gens à élever des bêtes. Il continue d’écrire le 28 juillet : le comte de Guichen a retardé le départ de la flûte la Ménagère qui devait aller chercher du bois de chauffage à la Tortue. Page 121 à la page 123 : 29 juillet, Sto Domingo, Isidra de Veralsa y Roxas à Reynaud. A la fin juin, le roi lui confie deux mille hommes et quelques vaisseaux de guerre. Il lui demande donc des conseils. Il demande aussi des approvisionnements en farine, biscuits, viande… Page 124 à la page 130 : 26 août, au Cap, de Reynaud au ministre. De Reynaud parle de l’Affaire de Mr. Colas du Farges, capitaine des Dragons. A la suite d’une affaire le concernant, M. de Reynaud demande la suppression des places de commandant et de major de bataillon puisqu’elles donnent naissance à des querelles. Cependant, on ne peut pas mettre ceci en place, il faut adapter la réforme pour éviter les mouvements dangereux. Page 131 à la page 133 : 18 septembre, au Cap, de Reynaud à Sartine. De Reynaud joint dans cette lettre celle que M. de Véralta lui a écrite le 24 août 1780 et la réponse qu’il lui a faite le 12 septembre 1780. Il n’a donc pas refusé de lui envoyer mille hommes pour la partie espagnole de Saint-Domingue. Il évoque la traversée de ces hommes et les moyens déployés. Page 134 à la page 137 : 24 août, sans lieu, Isidro de Peralta y Roxas (Président de Santo Domingo) à de Reynaud. Le Président de Santo Domingo explique les moyens que la cour de Versailles a décidé de mettre en place pour protéger l’île (hommes, vaisseaux, approvisionnements, le transport des malades, les tentes pour les officiers…). Il adresse un nouvel itinéraire pour le transport des troupes par terre, ils peuvent partir par groupe de cent hommes pour pouvoir être logés dans les bourgs chez les habitants au lieu de loger dans des tentes. Il encourage pendant cette route, une parfaite harmonie entre les Français et les Espagnols. Page 139 à la page 142 : 12 août, au Cap, de Reynaud au Président de Santo Domingo. De Reynaud explique comment les hommes vont être expédiés par terre. Il fait transporter à la frontière tous les approvisionnements nécessaires pour les troupes. Avec eux, il y a un médecin, un chirurgien et un écrivain pour suivre le manque de certains objets et approvisionnements. Cependant, il faudrait un peu plus de temps pour bien organiser les départs de troupes donc la première division ne se rendra qu’à la frontière le 1er septembre prochain, la seconde le 3 et ainsi de suite tous les trois jours. Page 143 à la page 144 : 9 septembre, sans lieu, de Bonet à de Reynaud. Trois vaisseaux ont été démâtés par une tempête. Page 145 à la page 147 : 8 septembre, sans lieu, Don Victora de Navia à de Reynaud. Don Victora de Navia parle des précautions prises pour l’envoi des mille hommes dont une preuve pour l’intérêt des souverains respectifs. Il fait l’éloge de ce que VC a fait pour les troupes, ils se sont bien comportés et il le reconnaît. Page 148 à la page 151 : 8 septembre, sans lieu, Diego Joseph Navarre à de Reynaud. Diego Joseph Navarre fait l’éloge de V.C concernant son attitude et les soins qu’elle apporte aux troupes et le convoi sûr qu’elle a donné à M. de Solano. Comme elle, il pense qu’il faut enlever aux anglais les ressources qui se trouvent à la Jamaïque. Page 152 à la page 156 : 8 novembre, Diego Joseph Navarre à de Reynaud. Les Français et les Espagnols doivent s’aider mutuellement. Il évoque les approvisionnements d’argent fait de la France vers l’île. Page 157 à la page 159 : Duplicata des pages 152 à 156 de Diego Joseph de Navarre à Reynaud. Page 160 à la page 163 : Duplicata des pages 145 à 147 de Don Victoria de Navia à de Reynaud. Page 164 à la page 168 : Trplicata des pages 152 à 156 de Diego Joseph de Navarre à Reynaud. Page 169 à la page 172 : Trplicata des pages 152 à 156 de Diego Joseph de Navarre à Reynaud. Page 173 à la page 174 : Duplicata des pages 143 à 144 de Bonet à Reynaud. Page 175 : 29 novembre, au Cap, de Reynaud à de Vincent. Les Sieurs Moulas doivent être reçus dans une compagnie de milice, ils doivent avoir recours à la justice ordinaire que pour des difficultés particulières. Pour embarquer un prêtre, il faut leur avis. Page 177 à la page 180 : 1781, 5 octobre, extrait de mémoire du roi pour Bellecombe. Ils montrent l’utilité encore des milices qui sont formées à Saint-Domingue par 8000 blancs et 5600 hommes de couleur pour défendre la colonie. Il doit donc être vigilant dans le choix de ses officiers pour éviter les abus. Tous les ans, il devra adresser un compte rendu des milices au secrétaire d’état de la marine. Page 181 à la page 182 : 1780, 20 novembre, au Cap, de Reynaud à Sartine. De Reynaud explique que les fortifications du môle de Saint-Nicolas sont des dépenses inutiles puisque depuis la guerre, aucun vaisseau n’y est entré. Page 183 à la page 202 : 1er décembre, au Cap, de Reynaud à Sartine. De Reynaud explique que c’est dommage que Monteil n’est pas fait une croisière à la Jamaïque après le 23 juin puisqu’il aurait pu y prendre des navires de guerre anglais qui ont été démâtés après un ouragan. IL explique tout ce que lui et Monteil font dans l’île au niveau de la gestion des vaisseaux, des expéditions… Il faudrait trois navires de guerre pour escorter leur convoi vers l’Europe si le Triton n’y est pas. Il demande des avis concernant l’expédition du convoi. Il envisage peut être de prendre la Jamaïque lors d’une prochaine guerre. Il surveille les abus en observant chaque mois les sommes qu’obtiennent tous les matelots concernant les fortifications de district. Finalement, il montre qu’aucune partie de l’île n’est apte à résister aux attaques. Leur escadre est réduite à cinq vaisseaux. L’escadre espagnole n’aide pas beaucoup puisqu’elle surveille ses possessions. Leurs magasins de marine ne sont pas mieux fournis. Il conseille de s’emparer des îles turques avant la Jamaïque puisqu’elles fourniraient du sel en grande quantité. Il réclame des Noirs puisque les habitations se dépeuplent. Il conseille de garder la maison des religieuses pendant la guerre. Il constate que les dégâts de l’ouragan ne sont pas si importants que l’on pouvait l’imaginer. Il a parfois écrit avec L’ordonnateur. Page 203 : Page de garde : Saint Domingue, De Lillancourt, année 1780. Page 204 à la page 207 : 18 mars, au Cap, de Lilancourt à Sartine. De Lilancourt explique qu’il a reçu peu de vaisseaux et de marchandises, la disette commence à se faire sentir. Un convoi qui est arrivé à la Jamaïque avait annoncé que les Anglais étaient entrain de former une expédition pour prendre quelques possessions espagnoles mais il n’est pas sûr de l’information. Une ville anglaise située sur le fleuve a été prise. Page 208 à la page 209 : 19 mars, au Cap, de Lilancourt à Sartine. Il parle des ordres donnés aux huissiers de faire le service des milices. Page 210 à la page 214 : 28 mars, au Cap, de Lilancourt, sans destinataire. Le Comte D’Argout l’a beaucoup ignoré, il l’a laissé seul face à ses projets. Il parle des défenses mises en place sur l’île. Il expose toute son expérience dans le passé. Il donne son avis sur les nouveaux officiers. Il va refaire les plans topographiques qui ont été négligés. Page 215 : Page de garde : Saint-Domingue, De Vaivre. Page 217 à la page 219 : 1780, 1er janvier, au Cap, De Vaivre à Sartine. De Vaivre joint les procès verbaux pour des fournitures défectueuses de la part du Sieur Le Ferre négociant au Cap. Il explique le chargement du bateau en barriques de vin. Page 220 à la page 222 : 1779, 15 décembre, sans lieu. Le vaisseau Le Robuste était à l’ancre dans l’île de Saint-Domingue avec le commandant De Longueville. Il parle toujours des barriques de vin et du trafic qu’il a fait avec les marques, ils ont goûté…Il s’agit du procès verbal. Le lieutenant de vaisseau major donne son avis sur le procès. Celui-ci a été examiné par le chef d’escadre Witon et par le Comte de Grasse. Page 223 : 1779, 16 décembre, Raoul, sans destinataire. Raoul dit qu’il a livré à deux négociants de la ville dix-huit barriques de vin qui proviennent du brigantin Le Héros. Page 226 à la page 233 : Sans date, sans lieu, extrait de mémoire des Sieurs Lefevre et Witon.. C’est une histoire concernant un problème rencontré avec des barriques de vin. Page 234 à la page 236 : 1780, 2 janvier, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre explique les différentes traversées de navires. Page 237 à la page 238 : 2 janvier, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre explique les avances pécuniaires qu’ils ont faites à certaines troupes. Page239 à la page 240 : 2 janvier, au Cap, de Vaivre à Sartine. Il évoque les différentes prises de frégates (La Polly par exemple). Page 241 à la page 242 : 3 janvier, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre lui fournit les récépissés du Port-au-Prince et du Cap. Il explique que dans quelques mois, il enverra l’état des dépenses de l’armée. Page 243 à la page 244 4 janvier, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre évoque le bateau du roi, L’Oiseau, envoyé à la colonie et qui est désarmé puisqu’il engendre des dépenses. Page 245 : Pas de date ni de lieu, pas d’expéditeur ni de destinataire. Document qui donne les dépenses faites dans la colonie par la goélette du roi l’Oiseau, commandée par M. de Reynaud, lieutenant de frégate. Page 247 à la page 248 : 4 janvier, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre rend compte des dépenses de l’escadre du Comte de Grasse dans sa dernière escale au Cap. Il envoie ces documents aux comtes Jeurès et Desloges de Honvel. Toutes les dépenses englobent les vaisseaux suivants : Le Robuste, Le Sphinx, L’Amphion. Page 249 : 4 janvier, au Cap, de Vaivre à Sartine. Lettre concernant les dépenses de la frégate du roi l’Active. Page 250 à la page 253 : Pas de date, à Saint Domingue, pas d’expéditeur pas de destinataire. Document qui clase les dépenses faites pour le service de la frégate du roi L’Active. Page 254 à la page 256 : Pas de date, Saint-Domingue, de Vaivre, sans destinataire. Note qui évoque les dépenses faites pour le service de la frégate du roi La Minerve. Page 257 à la page 259 : 17 mars, au Cap, de Vaivre au ministre. Etat des subsistances existantes dans les magasins du Roi. Ce document a été vérifié par les commissaires des colonies, le contrôleur de la marine à Saint-Domingue et par l’intendant. Page 260 à la page 262 : 10 avril, sans lieu, Taffand à Sartine. Taffand demande des aides pour les besoins urgents en vivres des suppliants Grevort de la Croix, commissaire ordonnateur du département. Page 263 à la page 264 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur écrit pour l’intendant des îles françaises de l’Amérique sous le vent. Les marchandises et denrées nécessaires à la vie sont très chères. Les sujets qui sont occupés au service du roi seront indemnisés de la plus value des denrées en temps de guerre. Page 265 : 19 mars, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre rend compte des subsistances existantes dans les magasins du roi le 17 de ce mois. P age 266 à la page 267: 1779, 16 jullet à Versailles, de Sartine à D’Argout et De Vaivre. Extrait des registres du contrôle de la Marine à Saint-Domingue. Sartine envoie l’état des suppléments en argent pour les entretenus en temps de guerre. Page 268 à la page 272 : 19 mars, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre fait l’état des différentes prises faites par le brigantin Le Dauphin et explique la somme qui est versée aux invalides de la Marine. Page 273 : 8 avril, St Domingue, Bullet à de Vaivre. Vu et enregistré au contrôle de la Marine à Saint-Domingue par les commissaires des colonies. Page 274 à la page 276 : 19 mars, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre rend compte des dépenses faites par la frégate du roi La Minerve. Il s’agit aussi des dépenses qui ont été faites au Port-au-Prince pour le service de cette frégate. Page 277 : Pas de date, Saint-Domingue, pas d’expéditeur mais vu par De Vavire. Il concerne toujours les dépenses faites pour la frégate La Minerve. Pages manquantes. Page 282 à la page 284 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. Cela concerne les revues et l’état des hôpitaux des garnisons du Cap, du Môle de Saint-Nicolas et du Port-au-Prince pour les six derniers mois de 1779. Page 285 à la page 286 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre fait l’intendance des prises sur les mains de l’Etat, du bâtiment La Caville. Page 287 à la page 288 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre joint la quittance en retour à la somme qui avait été prêtée pour les habillements des bas officiers et des soldats du régiment. Page 289 à la page 290 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre dresse l’intendance de la frégate du roi La Prudente. Page 291 à la page 293 : Duplicata des pages 282 à 284 de Vaivre à Sartine. Page 294 à la page 296 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre donne les procès verbaux de visite et de réception dans leurs magasins des farines. Celles-ci ont été expédiées et ont eu une forte odeur de vieux et le bœuf est de qualité médiocre. Page 297 à la page 299 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. Intendance des fonds des Invalides. Les frégates du Roi ont faits diverses prises et donc il revient une certaine somme aux invalides de la Marine. Les sommes nous sont données. Page 300 à la page 308 : 1780, pas de lieu, de Bullet à De Vaivre, tableau récapitulant l’état des rescriptions faites à Saint Domingue. Page 309 à la page 311 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. Intendance du navire Le Breton. Ce navire est commandé par de Bonneville. Page 312 à la page 316 : 10 avril, St Domingue, Lecocq, sans destinataire. Il s’agit d’un extrait des minutes déposé au contrôle de la Marine de Saint-Domingue. Il fait l’état des ravitaillements fournis par le vaisseau le Breton. Ce document est signé par le Vicomte de Bonneville et le Second capitaine Barbé pour certifier qu’ils ont bien reçu ces marchandises. Page 317 à la page 318 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. Intendance de l’escadre commandée par le Comte d’Estaing par de Vaivre. Ce dernier évoque les différentes quittances. Page 319 à la page 321 : 1779, au Cap, sans expéditeur, sans destinatire. C’est une récapitulation de l’état général des dépenses faites au Cap pour l’escadre du roi qui est commandée par le Comte d’Estaing. Page 322 à la page 324 : 1780, 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre fait l’intendance de la frégate du Roi La Minerve. Comme cette dernière est partie rapidement, ils n’ont pas eu le temps de mettre en règle les dépenses qui l’ont concernée. Il nous donne même le coût total des dépenses. Page 325 à la page 326 : 1781, 8 septembre, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Bordereau des états de vivres et rafraîchissements fournis à divers bâtiments du Roi de Saint-Domingue (L’Oiseau, la Minerve et l’Active). Ces états ont été adressés à Desloges de Kerouvel le 8 septembre 1781. Page 327 à la page 328 : 1781, 8 septembre, sans lieu, sans expéditeur, au sieur Jaurès. Bordereau des états de dépenses faites à Saint-Domingue pour divers bâtiments du roi. Page 329 : Sans date, au Cap, sans expéditeur, sans destinataire. Etat des dépenses faites pour le service du roi de la frégate La Minerve. C’est un tableau qui expose toutes les dépenses faites à bord du vaisseau. Page 330 à la page 331 : Page de garde : Port au Prince, Le Bon Dauphin, Môle de Saint Nicolas. Page 332 à la page 334 : 1780, 17 avril, au Cap, de Vaivre au ministre. Document qui explique les procès verbaux de vente des flûtes La Victoire et le navire Le Champion remis dans leurs magasins par le Comte de Grasse. Page 335 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. Bordereau des récépissés fournis au Cap depuis le premier janvier 1780 jusqu’à aujourd’hui. Il joint aussi l’état des récépissés fournis au Port-au-Prince durant le mois de novembre et décembre dernier. Page 336 à la page 339 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. Document concernant l’intendance de la flûte du Roi La Marie-Thérèse. Il s’agit d’un bâtiment de commerce commandé par le Sieur Denys, lieutenant de frégate et frété à Brest pour le compte du roi envoyé de la Martinique par les administrateurs de cette colonie pour couvrir les frais d’une partie de son expédition. Page 340 à la page 342 : 19 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. Intendance des vaisseaux Le Tonnant et L’Amphion et la frégate du roi La Nymphe qui allaient chercher les navires marchands qui faisaient partie du précédent convoi. Il note le total des nouvelles dépenses. Page 343 à la page 345 : Sans date, St Domingue, sans expéditeur, sans destinataire. Document concernant l’escadre du roi qui est commandée par le Comte d’Estaing, vice-amiral. C’est un bordereau concernant les dépenses qui ont été faites pour le service des vaisseaux et frégate du roi (Le tonnant, l’Amphion, la Nymphe et la frégate du roi La tourterelle). Page 346 à la page 349 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. Intendance de la frégate du Roi LaTtourterelle. De Vaivre donne la somme des dépenses totales. Page 350 à la page 352 : 17 avril, au Cap, de Vaivre à Sartine. Document qui rend compte des journées d’hôpital des soldats de marine avec les différents détachements à bord de l’escadre du Comte d’Estaing. Page 353 à la page 354 : 5 mai, au Cap, de Vaivre à Sartine. Intendance concernant les revues et états d’hôpital de la garnison du Port-au-Prince pour les mois de novembre et décembre 1779 qu’il n’avait pas pu joindre dans sa lettre datée du 17 avril 1780. Page 355 à la page 361 : 6 mai, au Cap, de Vaivre à Sartine. D’Argout et Taffard ont rédigé les ordonnances suivantes : ils parlent des lois du royaume pour les juifs et les protestants, sur les officiers de justice, égalité des personnes dans les colonies, des libertés données aux administrateurs… De Vaivre explique qu’il va quitter ses fonctions. Page 362 à la page 365 : 5 mai, au Cap, de Vaivre à Sartine. Document envoyé le 23 mai 1780. Il joint les dépenses qui ont été faites dans ce port pour le service du vaisseau du roi Le Fier depuis son retour de Martinique jusqu’à aujourd’hui. Page 366 à la page 368 : 15 juin, St Domingue, de Vaivre au ministre. Document qui fait l’état des subsistances existantes dans les magasins du roi au Cap (farine, biscuit, vin, bœuf, lard, eau de vie, légumes, fromage, prunes, riz). Ce document a été vu par les commissaires des colonies chargés du détail des magasins du roi et par les commissaires des colonies et contrôleur de la marine à Saint-Domingue ainsi que par l’intendant De Vaivre. Page 369 à la page 370 : 19 juin, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre joint le procès verbal concernant une cargaison de sucre. Page 371 à la page 372 : 19 juin, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre sur l’intendance des vaisseaux du roi Le Fier et le Diadème. Il donne les dépenses totales pour le service de ces vaisseaux. Page 373 à la page 374 : 23 décembre, St Domingue, sans expéditeur, sans destinataire. Bordereau des états des dépenses faites à Saint-Domingue pour les vaisseaux et les autres bâtiments (Le Tonnant, Le Fier, L’Amphion, Le Diadème, La Tourterelle, La Nymphe et la Boudeuse). Page 375 à la page 376 : 23 décembre, St Domingue, sans expéditeur, sans destinataire. Bordereau des états envoyés à Desloges de Kerouvel des vivres et rafraîchissements fournis aux vaisseaux et autres bâtiments du roi qui ont séjournés à Saint-Domingue. Page 377 à la page 378 : 19 juin, au Cap, de Vaivre à Sartine. Intendance des dépenses faites pour le service de la flûte du Roi, l’Intéressant et d’autres flûtes françaises comme La Liverpol et la Marie-Françoise. Page 379 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Récapitulation des dépenses faites de la flûte du roi L’Intéressant. Page 380 à la page 382 : 18 juin, au Cap, de Vaivre au ministre. De Vaivre fait l’intendance de La Victory et Le Champion. Il s’agit des procès verbaux de ces deux vaisseaux qui ont été remis dans les magasins par le Comte de Grasse. Page 383 à la page 384 : Juin, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre où il joint les premières observations du bureau des comptes à Paris. Page 385 : Juin, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre joint les pièces concernant les journées d’hôpitaux des différents départements de la colonie. Page 386 à la page 389 : Juin, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre joint sous inventaire les états concernant la comptabilité de Saint-Domingue pour l’année de 1779. Il s’agit des journées d’hôpitaux des équipages ou des prisonniers anglais et nègres, l’état général du commerce du môle de Saint-Nicolas, introduction des noirs dans la colonie… Page 390 à la page 392 : 19 juin, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre fait l’état des subsistances existantes dans les magasins du roi. Page 393 : 19 juin, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre adresse le bordereau des récépissés fournis depuis le 5 mai 1780. Page 394 à la page 395 : 19 juin, au Cap, de Vaivre à Sartine. De Vaivre écrit une lettre envoyée le 23 décembre 1780 concernant les états de dépenses pour le service de la frégate du roi La Boudeuse. Page 398 à la page 399 : Sans date, sans lieu, sans expéditeur, sans destinataire. Tableau récapitulant les dépenses de la frégate du roi La Boudeuse en vivres, rafraîchissements et diverses dépenses. Page 400 à la page 401 : 14 avril, Versailles, Taffard, sans destinataire. Taffard explique que les employés des bureaux de Port-au-Prince lui ont adressés un mémoire où ils demandent qu’on accorde à eux et aux officiers d’admission un supplément en temps de guerre. Il ne peut rien dire là-dessus mais il explique de faire du mieux possible en faveur de ces employés. Page 402 à la page 403 : 10 juin, Versailles, sans expéditeur, à de Vaivre. Document concernant la veuve Caston, héritière de son fils Jean Bernard Caston. Elle réclame une somme pour la gestion des magasins du roi au Cap depuis 1759 jusque 1764. Page 404 à la page 405 : Page de garde : année 1780, St Domingue, Le Brasseur. Page 406 à la page 409 : 19 juin, au Cap, Le Brasseur au ministre. Le Brasseur explique que De Vaivre lui avait remis tous les détails de son administration avant de repartir en France. Il n’a même pas reçu une solde de gratification, De Vaivre lui a laissé quatre secrétaires à nourrir, loger. Il demande donc de l’aide comme ils l’ont fait avec Reynaud lors de son premier intérim. Page 410 à la page 413 : 24 juillet, au Cap, Le Brasseur au ministre. Le Brasseur dresse l’inventaire des effets existants dans le magasin général du Cap du 10 juillet. Il réclame d’autres approvisionnements dans ce magasin qui pour lui n’en est pas un. Ceci est valable pour tous les autres magasins dont il donnera un état de situation prochainement. Page 414 à la page 418 : 29 juillet, au Cap, Le Brasseur au ministre Le Brasseur écrit sur les employés de bureaux du Roi dans cette colonie qui demandent une augmentation de leurs appointements en temps de guerre pour leur ration. Page 419 à la page 423 : Juillet, au Cap, Le Brasseur à Sartine. Sur les bâtiments frétés pour le compte du roi. Il s’agit de l’Action, Le London et le Beauharnais qui font des déclarations de leurs chargements. Le Brasseur met en garde de vérifier à leur arrivée en France si d’autres produits n’ont pas été ajoutés par rapport à leur déclaration comme par exemple le tabac, le bois de Campêche... Page 424 à la page 427 : Sans date, sans lieu, Le Brasseur au ministre. Ce sont les fournitures faites à l’escadre commandée par le comte de Guichen. Chaque bâtiment emporte l’état de ce qui lui a été fourni de vivres par les magasins du roi. Il explique les sommes qu’il a donné aux officiers et soldats. Page 428 à la page 430 : 12 août, au Cap, Le Brasseur à Sartine. Le Brasseur parle des différents employés dans les bureaux du roi qui demandent une augmentation de leurs appointements en temps de guerre. Page 431 à la page 432 : 12 août, au Cap, Le Brasseur à Sartine. Lettre qui concerne une intendance des bâtiments frettés pour le compte du roi. Le Brasseur explique qu’il va joindre les déclarations que les bâtiments ont fais pour connaître la valeur des marchandises. Page 433 : 12 août, au Cap, Bullet, sans destinataire. Extrait du registre du bureau des octrois au Cap. Une déclaration faite par le Sieur Leheude capitaine du navire L’Alyon de Nantes pour le roi. Page 434 à la page 435 : 12 août, au Cap, Bullet, sans destinataire. Extrait du registre du Bureau des octrois au Cap. Déclaration faite par le Sieur Abautrel, capitaine du navire Le Beauharnais de Nantes chargé pour le Roi. Page 436 à la page 437 : 12 août, au Cap, Bullet, sans destinataire. Extrait du registre du Bureau des Octrois au Cap. Déclaration faite par le Sieur Pelat du Menauron, capitaine du navire Le London de Brest chargé pour le roi. Page 440 à la page 449 : 19 août, au Cap, Le Brasseur, sans destinataire. Document concernant le régiment d’Enghien. Le général se propose de faire partir ce régiment le 29 août pour Santo Domingo par mer puisque ce sont des Européens qui ne sont jamais allés dans les colonies. Cependant, comme il n’est pas possible, cela va se faire par terre. On ne sait pas comment on va retirer de la route ceux qui vont tomber malades. Cependant, cette route va être longue et difficile pour le régiment, il a peur d’avoir beaucoup de pertes humaines. Reynaud a demandé une gratification de deux mois pour le régiment de Touraine et celui d’Enghien. Cependant, comme il n’y a pas d’argent, ils seront payés en vivres. Page 450 à la page 454 : 19 août, au Cap, Le Brasseur, sans destinataire. Lettre qui concerne les approvisionnements de mâture. En fait, des vaisseaux américains ont apportés une cargaison de mâts qui peuvent servir pour des vaisseaux de 74 et 80 canons. Le Brasseur est satisfait puisqu’il est rare que la colonie soit approvisionnée en mâts. Page 455 à la page 456 : 1er septembre, au Cap, Le Brasseur à Sartine. Lettre qui rend compte des dépenses de l’escadre de M. de Monteil au Port-au-Prince. Page 457 à la page 458 : 1781, 15 septembre, pas d’expditeur ni de destinataire. Bordereau des Etats de dépenses faites à Saint-Domingue en 1780 pour différents vaisseaux et autres bâtiments du Roi (Le Caton, Le Galurier). Page 459 à la page 460 : 15 septembre, sans lieu, sans expéditeur à Desloges de Kerouvel. Bordereau des vivres et rafraîchissements fournis à différents vaisseaux et autres bâtiments du Roi pendant leur séjour à Saint-Domingue en 1780. Il s’agit des bâtiments suivants : Le Caton, La Victoire, L’Intrépide, Le Solitaire, L’Actionnaire, La Noyade…) Page 461 à la page 468 : 11 novembre 1780, au Cap, Le Brasseur sans destinataire, ordonnance. Le Brasseur, écuyer, conseiller du roi, commissaire de la Marine, Ordonnateur au Cap, faisant fonction d’intendant aux îles de l’Amérique sous le vent. Après le 2 décembre prochain, il sera effectué un rabais sur la fourniture de la viande de boucherie dans la ville et la paroisse du Cap pendant trois ans soit à partir du premier janvier 1784. Il s’agit donc d’un document composé de seize articles qui réglementent le prix de la viande pour les hôpitaux, les vaisseaux et autres bâtiments, l’extraction des bœufs dans la partie espagnole… Page 469 à la page 481 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur au ministre. Il est difficile selon Le Brasseur de se fournir de l’argent au Cap en plein milieu d’une guerre. Cependant, De Vaivre a réussi à trouver des ressources en faisant de nombreuses prises. Il essaye donc de voir où il pourrait se procurer de l’or et de l’argent. Page 482 à la page 487 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur au ministre. Intendance des magasins de Saint-Domingue. Le Brasseur donne l’état des maisons que le roi est obligé de louer dans cette ville pour garder tous les comestibles. Le loyer est fort cher en proportion des marchandises qu’ils contiennent. Le Brasseur va vendre tout ce qui ne peut pas se conserver ou qui est défectueux pour rendre quelques magasins. Selon lui, il serait plus rentable d’acheter l’île toute entière pour avoir que des magasins du Roi. L’expéditeur donne la somme totale pour l’achat de l’île. Page 488 la page 492 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur à Sartine. Intendance des Ferme des Boucheries du Cap. Le Brasseur veut supprimer tous les privilégiés sauf les troupes et les hôpitaux. Le Brasseur a mis pour éviter les dépenses, un adjudicataire dans chaque paroisse et a augmenté les lieus de distribution en ville. Page 493 : Septembre, au Cap, le Brasseur, sans destinataire. Document qui explique que le Brasseur a remis un paquet à un bâtiment. Page 494 à la page 499 : 1781, 3 mai, St Domingue, sans expéditeur, sans destinataire. En 1776, les deux conseils de Port-au-Prince et du Cap demandent la suppression du droit domanial des boucheries en le remplaçant par une taxe sur les cabarets, les billards et les cafés. Cette proposition fut approuvée mais pas mise en place. En décembre 1780 Le Brasseur remet ce sujet à l’ordre du jour. Page 500 à la page 503 : 1780, 1er décembre, au Cap, Le Brasseur à Sartine. Document concernant l’intendance de la gratification des régiments de Touraine et d’Enghien. Finalement, le régiment de Touraine qui n’est pas partit pour Santo-Domingo veut être payé en argent plutôt qu’en vivres. Sartine doit donc faire ce paiement en lettre de change à quatre mois de vue. Page 504 à la page 506 : 12 octobre, St Domingue, Le Brasseur, sans destinataire. Extrait des Minutes déposée au contrôle de la Marine. Les commissaires des colonies chargés du détail des magasins du roi assistent à la remise de différents comestibles du navire L’aimable Jacquete commandée par le Sieur Testat de Grassier. Ils font l’état des différentes marchandises livrées par rapport au bordereau qui l’accompagne. Par conséquent, ils ont dressé un procès verbal. Page 507 à la page 509 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur au ministre. Document concernant le navire Les Trois Frères de Nantes qui est arrivé à bon port. Une partie de la troupe espagnole devait passer à la Havane, ils ont donc profité du navire. Il a été pris et brûlé par les ennemis anglais. Page 510 à la page 513 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur au ministre. Embarquement du régiment de Touraine est décrit. Le roi leur a accordé à l’embarquement deux mois d’avance. Page 514 à la page 518 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur à Sartine. Lettre concernant le supplément d’appointement pour les commandants des corps militaires. Il expose les nouveaux noms des commandants pour le territoire : le comte d’Antichamps est nommé dans la partie sud, le vicomte D’Allemand est devenu colonel commandant. Page 519 à la page 520 : 1781, 17 février, Versailles, sans expéditeur à le Brasseur. Un avis est émis concernant les éléments de la lettre du premier décembre 1780 au sujet des suppléments d’appointements. Page 521 à la page 523 : 1780, 1er déembre, au Cap, Le Brasseur, sans destinataire. Le Brasseur explique les ordres qu’il a donné pour installer un nouveau garde-magasin, le Sieur Guillotin. Tous les comptes qu’il a rendus font preuve de beaucoup de talents et d’expérience. Page 524 à la page 527 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur à Castries. Le Brasseur évoque le Vicomte de Choiseul, intendant général qui a réclamé des rations de fourrage. Page 528 à la page 530 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur à Castries. Le Brasseur joint un état d’observation sur les dépenses générales de la colonie. Il est difficile de prévoir les dépenses en temps de guerre. Page 531 à la page 532 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur à Castries. Le Brasseur envoie les procès verbaux de réception dans leurs magasins de comestibles. Page 533 à la page 543 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur à Castries. Le Brasseur rédige une lettre où il adresse les ordonnances qu’il a rendu pour les anciens comptables ou pour les droits d’octroi de l’année 1779. Depuis environ quatre mois, il n’y a pas eu un seul convoi ni une seule prise. Il explique comment il a réussi à obtenir de l’argent par diverses méthodes. Page 544 à la page 547 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur à Sartine. Le Brasseur écrit une lettre qui évoque les dépenses faites pour le service de l’armée navale dans la colonie commandée par De Guichen. Page 548 à la page 550 : 1er décembre, au Cap, Le Brasseur au ministre. Lettre où Le Brasseur rend un état des comestibles remis dans les magasins du roi par les vaisseaux de l’armée de Guichen faute de pouvoir être consommés parce qu’ils étaient de mauvaise qualité.
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Master 1 Archives St Domingue
  • Réalisation sous la direction du Professeur Patrick Villiers d'un mémoire portant sur les correspondances entre St-Domingue et la métropole (série C9-A) dans les années 1780 et 1782.Etude des approvisionnements et des convois. ULCO Le Musée
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